coiffure

Blond polaire, la it-coloration de l’été

Les stars ouvrent la voie: Charlize Theron, Kristen Stewart, Taylor Swift, Jennifer Lawrence… Elles ont toutes succombé au blond venu du froid. Mode d’emploi pour adopter cette couleur de cheveux ultra tendance.

Muriel Chavaillaz

31 mai 2016

Blond polaire, la it-coloration de l’été — Charlize Theron, resplendissante au Festival de Cannes.
© Getty

Icon gallery — Charlize Theron, resplendissante au Festival de Cannes.
© Getty

Le blond fait toujours partie des colorations capillaires que l’on préfère. Mais cette année, exit le bronde ou les versions tie & dye. On mise sur le blond polaire, froid et monochrome. «C’est une teinte perlée, presque irisée, qui séduit particulièrement les actrices américaines chez qui la tendance revient régulièrement, par vague, tous les quatre à cinq ans», explique Delphine Courteille, coiffeuse et haristylist L’Oréal Professionnel, au magazine «Elle».

Effectivement, les tapis rouges regorgent de mèches tirant sur le blanc: Jennifer Lawrence, Kristen Stewart, Kendall Jenner, Charlize Theron et Taylor Swift en sont déjà fans. Pourtant, cette teinte n’est pas évidente à porter. Comme Diam’s le scandait si bien: «J’sais qu’j’suis pas une bombe latine, ni une bombe platine, DJ!». La preuve, lorsque Kim Kardashian s’est essayée au blond, ce n’était pas la plus grande des réussites. Cette couleur ira en revanche à ravir aux peaux diaphanes. Enfin, il est vivement conseillé de se rendre chez un professionnel, tant cette dernière est difficile à maîtriser. La décoloration maison? Une bien mauvaise idée…

Un entretien exigeant

Les cheveux ressortiront très fragilisés. On veille donc à les hydrater au maximum en espaçant les shampooings et en ayant recours à des masques après chaque lavage. Pour éviter de voir son blond polaire virer au jaune poussin, on sélectionne des soins nuanceurs qui vont entretenir la couleur. Chaque mois, il sera nécessaire de repasser par la case «salon» pour dissimuler la repousse. Ou alors, comme Kristen Stewart, on décide d’assumer le côté grunge des racines apparentes!