Chronique sexe
Mode d'emploi: Tout connaître sur le plug anal
«Mais quel est donc ce diamant qui brille entre vos fesses?» De métal, de verre, de silicone avec vibro intégré ou non, télécommandé ou pas, le plug gagne en visibilité! Enfin, pas une fois qu’il est mis. Encore que, comme cité précédemment, les Rosebuds (célèbres pour leur base ornée d’un Swarovski) ne sont pas très discrets. Et vu où ils finissent par se retrouver, nous pouvons avoir une pensée amusée pour Milan Kundera qui écrivait «le kitsch, c’est la négation de la merde».
Alors, un plug, à quoi ça sert et comment ça s’utilise? Eh bien ça sert avant tout à ne pas finir aux urgences parce qu’il y a quelque chose de bloqué dans son rectum, en devant trouver une excuse telle que «je faisais le ménage et j’ai glissé, cette bouteille de PET était par terre, et voilà». Personne n’y croira, et l’objet se retrouvera dans l’armoire des urgences avec la collection d’autres choses suspectes retirées des rectums.
Un peu en mode as de pique, mais avec l’arrondi en plus. Et du lubrifiant. Pas mal de lubrifiant.
Comment bien utiliser le plug?
Le plug peut avoir plusieurs modes d’utilisation. Il peut être porté en solo, pour accompagner la masturbation, avec vibrations ou non, ou pour faire ses courses tout en sentant d’agréables sensations dans son bassin.
Certains plugs sont en effet désignés pour venir titiller la prostate, d’autres pour «s’écarter» une fois à l’intérieur, et ainsi provoquer des sensations de pressions sur les parois anales (ou par extension vaginales également). Différentes formes, textures et poids existent, que ce soit pour jouer avec pendant le sexe (en faisant des rentrées-sorties), ou en le laissant en place et en savourant la pesanteur qu’il amène dans certaines positions.
Au passage, il peut être aussi décoratif, agrémenté d’une queue de renard, de licorne, ou de… lapin. De quoi égayer la période de Pâques à venir!
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