La position «TAC» pimente le traditionnel missionnaire

Avez-vous déjà entendu parler de TAC? Non pas comme «Tac! D’un coup c’était là» ni comme dans Tacum I Tacc de Pascal Rinaldi, qui chantait «attache-moi les talons, fais-moi le grand frisson, faut qu’ça balance, faut qu’ça cadence, d’arrière en avant».

Encore que: en effet, avec la TAC, il faut que ça balance, en cadence… mais une fois l’angle tip top trouvé! Mais alors la TAC, c’est quoi? Il s’agit de la Technique d’Alignement Coïtal – abrégée CAT dans sa version anglophone –, un ajustement du traditionnel missionnaire qui ferait ronronner les minous, et «durer» les pipous.

Comme pour la majorité des personnes ayant une vulve la pénétration seule ne mène pas à l’orgasme, une stimulation mixte est suggérée. Si celle-ci peut se faire avec la main ou un jouet, la TAC mise quant à elle sur un ajustement d’angle des bassins pour garder les mains libres et faire se rencontrer adroitement les corps.

C’est-à-dire: une fois la personne pénétrante entrée dans l’antre sacré de l’autre, l’idée est pour elle de s’avancer, remonter légèrement (pour avoir plus ou moins les épaules à hauteur de tête), ce qui favorise ainsi le frottement de l’os pubien sur le gland du clitoris!

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Intimité des visages

Si, pour certaines personnes un coussin, sous les hanches facilite l’alignement, pour d’autres il semble le compliquer: n’hésitez donc pas à tester, et à ajuster – bien évidemment, le rythme du mouvement également.

Cette position permet par ailleurs une intimité des visages, donnant dès lors l’occasion de susurrer des mots doux ou crus – ou al dente pour celles et ceux qui aiment juste ce qu’il faut de cochoncetés – et de gémir tout doucement au creux de l’oreille, que l’on pourrait profiter de mordiller au passage. On peut aussi facilement se lécher le cou (cela prononcé sans accent, bien sûr).

Alors, la TAC, l’idéal pour un petit moment de tac-tac discretos en mode collé-serré?