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Chronique sexe

Face-sitting: La position qui donne un maximum de plaisir

Face sitting la position qui donne un maximum de plaisir 0

Le face-sitting a souvent été représenté comme une forme de domination, plus régulièrement mise en avant avec des femmes s’asseyant sur des visages d’hommes.

© PETITES LUXURES

«Ton mari mettait la tête entre les deux (seins), il d’vait pas entendre sonner midi!», disait François Silvant, dans son fameux sketch de 1984, Autrement ça va. Si certaines personnes rêvent de mettre leur tête entre des seins, certaines adorent se perdre entre des fesses et sous des sexes! Pour celles-ci, si elles ne sont pas claustrophobes, recevoir du «face-sitting» est un summum d’extase. Cette pratique vise à venir s’asseoir sur le visage de notre partenaire, lui offrant à sentir et à déguster notre intimité, tout en gardant un certain contrôle. Et cela tant sur ce que nous pouvons ressentir, en axant et bougeant notre bassin au rythme et à l’amplitude souhaités (ce qui change d’autres positions lorsque l’on reçoit du sexe oral), que sur ce que l’autre peut vivre, plus ou moins «écrasée» ou «écrasé» par notre entrejambe!

Le face-sitting a souvent été représenté comme une forme de domination, plus régulièrement mise en avant avec des femmes s’asseyant sur des visages d’hommes (tels les dessins intenses de Namio Harukawa, décédé il y a trois ans, le 24 avril 2020) – même si cette pratique peut être faite quelle que soit notre identité de genre et notre sexe. Comme elle peut comporter des risques, il est utile d’instaurer des safe checks (parce que les safe words avec la bouche «pleine», ça marche moins bien, pas besoin de vous faire un dessin).

Comme code de sécurité, par exemple, on peut venir serrer la main de la personne qui se trouve dessous, qui nous la serre en retour trois fois pour dire que tout est OK.

«Tu parles trop: foufoune dans ta bouche!»

Une fois le consentement et la sécurité discutés, place aux joies d’une part de se frotter au visage de l’autre au nez souvent fort apprécié, et d’autre part de se retrouver sous cette masse de chair, en sentir la moiteur et les odeurs, s’oublier dans cette pénombre intime. Et si cela nous excite, faire des jeux autour du blocage (momentané) de la respiration!

Dès lors, si l’on a un petit côté dom’ et qu’un débat devient interminable et stérile, on peut le transformer en ébat (et nez bas) en s’inspirant des paroles de la chanteuse suisse Mara: «Tu parles trop: foufoune dans ta bouche!»

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