maquillage
Les détails maquillage que l’on pique aux défilés
Un teint lumineux comme chez Balmain
L’éclat, c’est comme le fromage râpé sur les spaghettis carbonara: on en veut toujours plus. Cette saison, les formules liquides et aériennes nous donnent le choix, question application. On mélange quelques gouttes d’illuminateur à son fond de teint ou à sa crème de jour, ou on dépose le produit sur les zones clés à mettre en valeur: le haut des pommettes, l’arc de cupidon, les arcades sourcilières, l’arête du nez.
Reste en place! 5 étapes pour que mon maquillage ne bouge pas de la journée
Le mascara «retour de piscine» cher à Dior
Dior a trouvé l’astuce parfaite (et drôlement satisfaisante, voire carrément jouissive) pour affirmer le regard: faire des paquets. Un truc qu’on vous a toujours dit d’éviter à tout prix, mais cette saison, ils sont obligatoires sur les cils de toute beautysta qui se respecte. Car ils dessinent un regard aux accents mi-sixties, mi-sirène tout juste sortie de l’eau. Pour un effet réussi, il suffit de déposer deux couches de produit (il faut de la matière!) avant de coller les cils entre eux en utilisant la pointe de la brosse.
L’ombre fumée d’Alberta Ferretti
Quoi qu’on en dise, le smoky eye n’est absolument pas réservé à la saison hivernale. La seule nuance: au printemps, c’est version métallisée obligatoire. Strass, paillettes, nacre: on opte pour la totale sur une base (très) foncée, allant du bleu marine au vert profond. On veille à dégrader la couleur en étirant la matière jusqu’à la pointe des sourcils. Un afterwork se profile? On garde son stylo métallisé à portée de main et on accentue un chouia la teinte choisie pour son make up de jour.
Comment camoufler les rougeurs sur ma peau?
Le fard à joues ultrafrais façon Carven
Ce que l’on cherche en travaillant son teint, c’est l’effet grand air, genre: «J’ai couru toute la journée après des papillons dans les prés». Pour l’obtenir, lorsque l’on passe huit heures enfermée dans un open space grisouille, on mise sur des blushs rosés, de préférence en poudre, afin de pouvoir les appliquer au pinceau et jouer sur plus ou moins d’intensité. Et on évite de les poser uniquement sur le haut des joues: pour un effet naturel, on balaie allégrement des tempes jusqu’au nez.
La bouche rosée style Leonard
Aaaah, la bouche mordue des mannequins, ce Graal inaccessible! Tss-tss: les cosmétiques nous donnent désormais un sacré coup de pouce pour s’approprier cet effet. On mise sur des couleurs pas trop tranchées, qui se fondent dans la carnation des lèvres. L’application, quant à elle, se réalise au doigt. On veille à accentuer les parties charnues en y déposant davantage de couleur. Puis on n’hésite pas à fixer le tout avec une pointe de gloss pour un rendu frais et naturel.
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