culture
Pourquoi on aime Michael Fassbender
Michael Fassbender, un «English Brando» qui nous fait rêver
«L’English Brando», «l’acteur de plus désirable de l’époque»… Les surnoms donnés par la presse internationale au charismatique acteur ne manquent pas. En huit ans, le trentenaire (il a 39 ans) à la barbe de 3 jours est devenu une véritable star. Depuis sa révélation dans «Hunger» en 2008, Michael Fassbender n’en finit pas de tout rafler: carrière ultra convoitée, cœur des fans, attention des femmes…
On fond littéralement quand l’interprète décrit son plaisir de jouer «des hommes déchirés par un conflit interne» et on pleurniche discrètement depuis qu'on a découvert qu’il était en couple avec Alicia Vikander. Oui, oui, c’est Google qui le dit: «Alicia Vikander, compagne: 2014 -…». Bref. En touche à tout talentueux, la belle gueule nous emballe par sa présence dans les blockbusters comme dans celle de films indépendants. Un vrai strike.
Michael Fassbender, un spécimen rare qui aime les rôles risqués
Avec une forte prédilection pour des prestations hors-norme, la star ne cesse de nous suprendre. Que ce soit comme esclavagiste puant («Twelve Years a Slave»), superhéros troublant (Magnéto dans la dernière trilogie des «X-Men»), accro au sexe («Shame»), androïde glaçant («Prometheus»), amant tourmenté («Une vie entre deux océans) ou encore sosie connecté («Steve Jobs»); à chaque performance, il nous surprend, nous hypnotise. Un point c’est tout.
En 2017, Fassbender sera une fois de plus omniprésent. Il sera à l’affiche de «Weightless» de Terrence Malick, «Alien: Covenant» de Ridley Scott et «Trespass Against Us» d’Adam Smith, rien que ça! Et bien sûr, cette fin d’année 2016 (on allait perdre le fil!), il est donc à l’affiche d'«Assassin’s Creed», l'adaptation du célèbre jeu vidéo éponyme qu’il a produit et dans lequel il joue avec Marion Cotillard (pertinente dans son rôle de scientifique).
Michael Fassbender, une belle motivation pour faire plaisir à votre mec
«Assassin’s Creed» en quelques mots, c’est l’histoire d’une «technologie révolutionnaire» qui libère la mémoire génétique de Callum Lynch. Grâce à l’«Animus», «Cal» revit les aventures de son ancêtre Aguilar, dans l’Andalousie du XVe siècle. La société secrète des Assassins, dont fait partie notre héros, va devoir se battre face à l’Ordre des Templiers pour mettre fin à la violence par la violence. Vous suivez?
Un synopsis qui va clairement faire vibrer les «gameurs» les plus férus mais à vrai dire peu emballer les néophytes d'entre nous. Sans vous spoiler le film, on doit vous avouer avoir un peu décroché quand on a entendu l’expression «l’ADN du libre arbitre», pensé aux courses de Noël à l’évocation du «saut de la foi», eu un léger décollement de rétine à l'explosion de la «Pomme d'Eden.»
Et si votre chéri vous demande «Bébé, on va voir «Assassin’s Creed» au ciné cette semaine?» pensez qu’on vous le recommande tout bonnement pour la présence de Fassbender (et des effets spéciaux notables).
Voilà, vous l’aurez compris, ne vous attendez pas à élire «Assasin’s Creed» dans la catégorie «Meilleur film de l’année décerné par la petite amie». Mais qui sait, votre couple pourrait vous dire merci. Une fois la lumière repartie.
«Assassin’s Creed» du Justin Kurzel, 2 h 20. Oui, c'est un long long-métrage. En salles le 21 décembre 2016.
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