Fans de Casa
On n'en a pas fini avec Nairobi
C’est qui?
Ah, ce profil aquilin, cette truculence, ces bons mots (notre niveau d’espagnol est passé de A1 à langage de charretier), cet amour de la bonne chère et cet humour… depuis décembre 2017, le personnage de Nairobi est entré dans nos vies, sans qu’on sache grand-chose de l’actrice madrilène qui incarne cette drôle de dame dans la série Netflix à succès «La casa de papel». Alba Flores, 34 ans au compteur, repérée dans la série Derrière les barreaux (un genre d’«Orange is the new black version ibérique, imaginée par Alex Pina, le créateur de «La casa de papel») et grande spécialiste du flamenco.
Pourquoi on en parle?
Jusqu’à ce qu’elle apparaisse au casting de la série espagnole la plus populaire de tous les temps, il faut bien le reconnaître, Alba Flores s’est peu fait connaître au-delà des frontières de son pays. Et c’est bien dommage, car si elle n’a pas (encore) une filmographie des plus impressionnantes, on tombe instantanément sous le charme à chacune de ses apparitions. Pour son look d’abord, toujours décalé et coloré, et pour ses engagements ensuite. Issue d’une famille gitane, elle a souvent défendu ses origines, hors caméra d’abord, ou en endossant le rôle d’une jeune lesbienne issue de cette communauté.
Qu’est-ce que les autres en disent?
Etrangement, pas mal de monde s’intéresse davantage à son nez qu’à son jeu, ses prises de position pour le climat, en faveur du travail de comédien ou pour les droits LGBT, mais ça va changer.
Sans rien spoiler de ses dernières mésaventures, une chose est sûre, elle est devenue l’un des personnages préférés de la série.
Ce qui la fait sortir du lit
Fervente militante environnementale, elle est d’ailleurs la voix, dans la version espagnole, de la magnifique série documentaire «La terre, la nuit», sur Netflix. Si sa timbre vous manque déjà…
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