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Omega célèbre les 60 ans de sa Speedmaster avec George Clooney
Ce mercredi 26 avril 2017, un parterre de stars et la presse internationale ont pu assister à une soirée VIP inspirée de l’espace. Pour résumer? Un évent tout simplement cosmique. A l’entrée du Tate Modern, des astronautes griffés Omega attendaient les guests afin deprendre quelques selfies décalés. Dans un Londres au vent glacial (pour l’époque, on précise), les robes en soie des invitées semblaient «virevolter», comme en apesanteur.
© Omega
La soirée «Lost in Space», une ambiance «Gravity»
A l’intérieur de ce musée iconique à l’architecture colossale, et pour célébrer les 60 ans de sa montre Speedmaster, Omega a joué la carte de l’expérience sensorielle et visuelle. Salle de réception en mode ultra futuriste, immenses faisceaux de lumières inspirés d’«Interstellar», serveurs vêtus de blouses blanches de professeurs de la NASA, cocktails au design de bonbonnes d’oxygène, petits-fours argentés comme imaginés par Paco Rabanne… La déco était absolument à tomber et mettait en avant 60 grands modèles de la Speedmaster réalisés entre 1957 et 2017.
© Omega
Mais attendez, ce n’est pas tout, une fois tous assis, nous avons eu le plaisir de voir débarquer sur scène et aux côtés de Raynald Aeschlimann, président et CEO d’Omega, notre cher George Clooney, ainsi que l’astronaute Buzz Aldrin. Un Buzz qui a fait son apparition en «volant» au-dessus des invités (merci au cascadeur) et est apparu en combinaison spatiale. Une fois atterri, il n’a par manqué d’évoquer ses souvenirs autour de la montre culte de la maison suisse et de son séjour dans l’espace.
George Clooney, un ambassadeur fan absolu
L’acteur, qui a déjà enfilé le costume d’astronaute pour des films tels que «Gravity» ou «Solaris», a exprimé sa totale fascination pour l’exploration spatiale et les missions Apollo depuis son plus jeune âge. D’ailleurs, lorsque son père a appris qu’il allait travailler avec la marque horlogère, ce dernier lui a offert sa vieille Omega en cadeau.
A 55 ans, la star, super élégant et plein de «sexyness», n’a rien perdu de son charme et a littéralement hypnotisé la salle (dont votre auteure) avec ses petits jeux de mots, sa signature. Son épouse, Amal Clooney, enceinte, était probablement restée à Sonning, village du comté de Berkshire où réside le couple (situé à près de 65 kilomètres à l'ouest de Londres).
Un parterre de stars pour un gala «près des étoiles»
Attablées pour déguster un repas servi «comme dans l’espace», les actrices Liv Tyler (habillée en Valentino) Gemma Arterton, Joely Richardson et Clémence Poesy, les tops Arizona Muse et Erin O’Connor mais aussi les chanteuses Ellie Goulding et Pixie Lott rayonnaient dans l’audience. Des guests masculins étaient également présents. On a pu apercevoir, entre autres, les mannequins David Gandy ou Toby Huntington-Whitely, le frère de Rosie, oui! Le sport était enfin de la partie avec le nageur olympique Adam Peaty accompagné de sa chérie Anna Zair.
L’événement «Lost in Space» s’est terminé sur la performance de la chanteuse anglaise Eska. La voix jazzy et soul de l’Angleterre a entonné de façon brillante une reprise de «Space Oddity» de David Bowie.
Découvrez dans la galerie ci-dessus les looks des stars.
Buzz Aldrin, une icône «to the moon and back»
A 87 ans, Edwin Eugene Aldrin junior de son vrai nom est une égérie de marque comme il n’en existe pas deux. Lors de la rencontre avec la presse, l’astronaute d’Apollo 11 et de Gemini 12, looké comme le vrai Texan qu’il est, a quasiment terni l’allure branchée des rédacteurs en chef de magazines masculins européen (GQ, pour n’en citer qu’un) venus rencontrer la légende vivante.
Vêtu d’un bomber customisé de tacons à son effigie, d’une cravate aux couleurs des USA, de chaussettes «eagles», de gris-gris aux perles en bois (B, U, Z, Z) et de, non pas une, mais de deux chrono Speedmaster au poignet (une à chaque bras); Buzz Aldrin a commenté un diaporama de photos toutes plus mythiques les unes des autres. Entre celle de l’empreinte sur la Lune et le fameux cliché de lui dans l’espace, Buzz, a rappelé l’air de rien, que c’est bien lui qui a inventé le premier selfie. Pris, de surcroît, avec le «plus cher selfie stick au monde». Une évidence bien sûr, mais il fallait y songer.
© Omega
Omega, à la conquête de l’espace
L’héritage inégalé de l’exploration spatiale dont peut se vanter la manufacture suisse, n’est plus à démontrer, mais bien à découvrir ou à redécouvrir, tant elle suscite l’intérêt de notre culture générale. Pour l’allusion technique, le modèle original de la Speedmaster a été la première montre au monde dont l’échelle tachymétrique (l’instrument de mesure de vitesse) figure sur la lunette. Autre information notable; c’est en 1965 que le modèle a été officiellement testé et agrée par la NASA pour l’ensemble de ses missions spatiales habitées.
© Omega
Depuis cette avancée révolutionnaire dans l’histoire de l’horlogerie, astronautes, pilotes de l’Air Force, et explorateurs n’ont cessé de chérir ce modèle «From the Earth to the Moon». Les plus cultes sont bien entendu Neil Armstrong et Buzz Aldrin, qui ont tout deux foulé la surface de la Lune dans le cadre de la mission Apollo 11 en 1969, avec une Speedmaster au poignet. Pas mal du tout pour le storytelling d’une marque made in Switzerland. Comment dit-on Cocorico en Suisse déjà?
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