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Taylor Swift a bien mieux à faire que de répondre à des questions sexistes
«Et alors, c’est pour quand les enfants?» Grrrrr: cette question n’a pas fini de nous donner envie de hurler/arracher les cheveux de celui qui l’a posée/dégommer la Terre entière (ou presque). Vous en avez ras-la-patate de devoir constamment y répondre? Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule: Taylor Swift vit exactement la même chose…
Taylor Swift et la parentalité
La chanteuse au nombre de récompenses pharaonique (23 American Music Awards, ce qui fait d’elle l’artiste la plus primée) a sèchement repris un journaliste allemand qui l’interrogeait sur la préparation de son 7ème album. Abordant le fait que la jeune femme fêtera ses 30 ans à la fin de l’année, il enchaîne en lui demandant: «Souhaitez-vous avoir des enfants un jour?»
Ouch: LA question à ne pas poser à Taylor. Du tac au tac, l’interprète de «Shake It Off» lui répond:
Et bam, envoyé! «Aucun journaliste ne demande à un chanteur masculin s’il a prévu d’avoir des enfants, note le magazine «Rockie», c’est même incongru de l’imaginer.» Taylor Swift a eu la répartie qu’il fallait, celle qui nous manque parfois lorsque nos proches (ou pas tant que ça d’ailleurs) nous interrogent sur l’état de notre utérus. Et la chanteuse a profité de cette question pour mettre en lumière les différences entre hommes et femmes sur le thème de la parentalité. Car que l’on soit une star planétaire qui pèse plus de 320 millions (selon «Forbes») ou pas, la problématique nous touche toutes.
Engagée politiquement
À en croire l’interview donnée par Taylor au «Parisien» le 26 mai 2019, elle ne compte pas s’arrêter là pour faire bouger les choses et remettre les pendules à l’heure. Récemment, elle a ainsi pris position politiquement en faveur des démocrates. «C’est une priorité absolue pour moi, car nous traversons une période chaotique, confie-t-elle. Je pense que c’est d’autant plus important de le faire dans un pays où la nouvelle génération s’intéresse de plus en plus à la politique mais ne la connaît pas toujours bien. Moi-même, je dois reconnaître qu’il y a quelques années, je ne connaissais pas bien la politique.»