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Les journées de Danielle Siegfried, 28 ans, durent bien plus de 24 heures en ce moment. Entre son métier de diététicienne, les cours qu’elle donne aux élèves du secondaire et son engagement pour la grève du 14 juin, son agenda déborde. Mais elle ne manque jamais une occasion pour parler de la manifestation, des impacts attendus et des combats menés au quotidien par les femmes.

Une grève pour «accélérer le rythme»

Danielle, qui habite dans les environs de Porrentruy, est fière de l’association interjurassienne pour la grève des femmes, qu’elle co-préside:

«Dans notre comité, chaque parti politique est représenté, de l’UDC à l’extrême gauche, explique-t-elle. C’est un mouvement qui nous concerne toutes, quelles que soient nos affinités, nos origines, notre parcours.»

Et pour la jeune femme, pas question de s’arrêter après le 14 juin. «Ce n’est que le début, s’exclame-t-elle. Avec cette belle solidarité, nous allons pouvoir continuer d’avancer ensemble et de nous battre pour les changements que l’on veut voir dans notre société.» Car selon Danielle, il est capital d’accélérer le rythme. «La grève permettra de faire cela, comme ça a été le cas en 1991, espère-t-elle. Les nombreux impacts qui ont suivi sont très encourageants.»

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