culture
Joël Dicker va encore vous empêcher de dormir
Après le phénoménal, et planétaire, succès de sa «Vérité sur l’Affaire Harry Québert» parue en 2012 , le Genevois nous fait partager l’enfance et les illusions perdues de son héros, Marcus Goldman. On rit, on pleure… sans jamais pouvoir lâcher les 480 pages de cette attachante histoire, fruit de l’imagination d’un auteur…
Pressé
Surfer sur la vague de «La Vérité…» (vendue à plus d’un million d’exemplaires à travers le monde, grâce à laquelle il a obtenu le Prix Goncourt des Lycéens et le Grand Prix du roman de l’Académie française) et perdre son temps sur les plateaux télé? Très peu pour lui. Son best-seller n’est encore même pas sorti en poche que ce «Livre des Baltimore» hante déjà nos nuits blanches.
Prolixe
Il le dit lui-même: «Je ne reste jamais sans écrire.» Tant l’exercice coule de source pour cet incomparable conteur d’histoires. L’écrivain en mal d’inspiration de son «Harry Québert»? Juste un personnage de fiction, pour cet avocat de formation que ses notes médiocres en littérature ont paradoxalement orienté vers le droit plutôt que vers les belles-lettres.
Patient
Agé d’à peine 30 ans, le Genevois, auteur de six romans dont trois publiés, a connu la réussite que d’autres perdent leur vie à attendre. De quoi aiguiser les jalousies: «Après la sortie de «La Vérité…», j’ai prix vingt ans en une année», confie-t-il.
Discret
Une passion pour l’Amérique, la pratique de la batterie, l’amour du foot, la publication à 10 ans d’une petite «Gazette des animaux»… voici le peu d’éléments qui filtrent sur sa vie privée. Devenu une personnalité, Joël Dicker ne se la joue pas VIP.
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