Summer is coming!
Mode: nos 12 tendances printemps-été 2020 préférées
Défilé Victoria Beckham.
© Imaxtree
Vichy sans chichis
Ni cliché ni baby doll, le vichy s’affirme sur des pièces de caractère, des déclinaisons structurées, comme le costume pantalon, chez Victoria Beckham, ou la robe, chez Emilia Wickstead. Ce motif graphique se distingue par une élégante palette de tons sobres: beige, brun ou noir. Bien que classique, le rouge reste la seule audace, à condition de l’assumer.
Défilé Victoria Beckham.
© ImaxtreeA un fil
Guipures, dentelles, franges et rubans subliment les robes estivales. Cette opulence romantique est mise en valeur par la pureté du blanc qui dévoile le corps grâce à des jeux de transparence. Les robes sont volantées, chez Zimmermann, ou courtes et frangées, comme chez Oscar de la Renta pour un effet très doux.
Défilé Zimmermann.
© ImaxtreeTrop (pi) cool
Ambiance tropicale sur les podiums. De multiples variations de motifs de palmiers et autres feuillages prennent d’assaut des robes longues transparentes, comme chez Dolce & Gabbana. Versace, de son côté, privilégie les costumes ou les robes courtes, brodées de strass, nous offrant la version la plus sexy de la saison.
Défilé Versace.
© ImaxtreeOsé, le zèbre
La majestueuse et graphique robe du zèbre fait de l’ombre à celle du léopard cette saison. Ce motif noir et blanc en jette et donne de l’allure à n’importe quel look. Manteaux, robes ou tops se portent en all over ou se mixent avec plusieurs déclinaisons de motifs animaliers. La reine de la jungle, ce sera vous.
Défilé Ports 1961.
© ImaxtreeColorama
Les couleurs vives s’en donnent à cœur joie, multipliant les motifs graphiques. On retrouve bien sûr le pull col roulé à rayures multicolores chez Paco Rabanne et la jupe à damier déstructurée chez Lanvin. Plus spectaculaire, Marc Jacobs n’hésite pas à faire d’une robe, une sculpture contemporaine au volume XL. Sans aller dans l’extrême, on salue la robe de Mugler, qui fait ressortir la parfaite symbiose entre imprimé tie and dye et drapé.
Défilé Mugler.
© ImaxtreeLe saumon donne le ton
Cataloguée mielleuse, au même titre que le lavande ou l’anis, cette couleur n’a pas la vie facile. Toutefois, cette année, elle illumine les collections printanières. Grâce à des coupes structurées et associée à des teintes poudrées ou chocolatées, elle n’aura rien de mièvre.
Défilé Miu Miu.
© ImaxtreePas si short
Le costume s’allège allègrement de son pantalon en laissant la place au bermuda. On oscille dès lors entre le complet trois-pièces aux tons clairs, comme chez Max Mara, et le total look noir qui prend des airs de smoking chez Saint Laurent. Entre deux, on retrouve la rayure tennis, plutôt masculine, associée à un body à découpes. Un duo sans faute et à haute valeur féminine pour Chloé.
Défilé Chloé.
© Imaxtree
Eighties forever
Certaines décennies nous collent encore et toujours intensément à la peau. C’est le cas des années 80. Jeremy Scott est celui qui en fait la version la plus exagérée: coupe crêpée emblématique, carrure maxi et cuissardes vertigineuses. On retiendra surtout le blazer, la pièce clé pour un clin d’œil modéré. Tout comme 3.1 Phillip Lim, qui réhabilite la combinaison à large encolure.
Défilé Jeremy Scott.
© ImaxtreeFlash total
Les couleurs flashy donnent vie et peps à tous les looks sages. En solo, les fluos priment chez Valentino et Helmut Lang. D’autres, plus audacieux, les déclinent en duos vitaminés: orange et violet chez Balmain ou bleu et pistache chez Rochas. Cette efficacité chromatique offre un peu de hauteur en toute simplicité.
Défilé Rochas.
© ImaxtreeCouper découper
Un cache-cache sexy dessine de nouvelles pièces qui dévoilent à chaque fois plus de peau. Ce sont surtout les robes et les tops qui jouent à ce jeu. Les courbes de la taille ou les épaules sont apparentes, de manière symétrique ou pas. Côté style, c’est surtout le minimalisme en noir ou en blanc qui l’emporte, par exemple chez Off-White ou JW Anderson.
Défilé Off-White.
© ImaxtreeCachemire détourné
Souvent associé à l’esprit bohème, l’imprimé cachemire ne se résume pas à ça. Bien que cette saison les robes fluides soient toujours d’actualité chez Saint Laurent et Celine, un peu de structure donne du caractère à ces arabesques nonchalantes. Christopher Kane les fait ainsi entrer dans une dimension plus urbaine et moderne.
Défilé Christopher Kane.
© ImaxtreeGypset
Cette nomade chic endosse mille et une couleurs sur de longues robes aux volants endiablés. Des broderies végétales et sages se posent sur de la toile brute chez Dior, des imprimés venus d’ailleurs mettent en valeur des coupes fluides chez Etro, tandis que chez Saint Laurent les broderies de strass et le foulard dans les cheveux donnent un petit air de diseuse de bonne aventure. Un style hippie fraîchement assumé qui n’est pas prêt de s’en aller.
Défilé Etro.
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