maquillage
Blush: nos conseils et notre sélection shopping
Nos grand-mères, qui ne connaissaient pas la mondialisation ni les anglicismes, appelaient cela du rouge à joues. Aujourd’hui, le blush (de l’anglais «to blush», rougir) est un basique du maquillage. Qu’il soit rose, brique ou corail, il est indispensable pour travailler les volumes du visage. Le précurseur du contouring.
Conseils de pro
Ce fard suscite pourtant la méfiance. Un excès a en effet le pouvoir de transformer une fille canon en fille de joie. Pour éviter l’effet clown, écoutons James Kaliardos, make-up artist international, qui a créé plusieurs looks pour Nars autour de sa gamme emblématique, Orgasm: «On pense souvent que le blush ne fonctionne que sur les looks rétro super glamours ou romantiques. Je voulais explorer tout ce qui est possible entre deux. J’ai travaillé sur chaque modèle individuellement, en gardant à l’esprit leur personnalité, carnation et traits.»
Leçon N° 1: on ne peut adopter un fard à joues en suivant uniquement les tendances; il faut l’adapter à son âge, son style, son visage. Pour les teints pâles, James Kaliardos recommande une application légère à la main sur le haut des pommettes, en étirant la couleur vers les bords du visage. Sur une peau normale, il commence par appliquer la matière au centre de la joue et la travaille sur le haut de l’os, tout en balayant le dessous de la pommette pour en définir le contour. Avec une peau mate, le maquilleur dépose le blush sur la tempe et l’étend sous l’os et sur la partie la plus saillante de la pommette.
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