Timberling, le nouveau mot pour s'excuser comme Justin Timberlake

Ce 12 février 2021, le chanteur Justin Timberlake s’est excusé (publiquement) auprès de son ex Britney Spears pour le mal qu’il lui a fait lors de leur rupture, en 2002. Une vraie prise de conscience, même si un brin tardive, ou une stratégie habile pour atténuer la pression? Il répond en effet à la déflagration suscitée par la diffusion du documentaire Framing Britney Spears, produit par le New York Times.

En effet, plusieurs personnes affirment dans celui-ci que le chanteur aurait médiatisé leur séparation pour lancer sa carrière en solo. Surtout, il aurait totalement laissé circuler la rumeur comme quoi elle l'aurait trompé, sans rien démentir.

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Excuses tardives

Sa chanson Cry me a river, au passage, faisait clairement référence à cette rupture, et une pseudo Britney pouvait être entraperçue dans le clip vidéo.

Dans son message publié sur les réseaux sociaux, il affirme ainsi être «désolé pour ces moments de [sa] vie où [ses] actes ont contribué au problème, où [il a] monopolisé la parole, où [il] ne s'est pas exprimé au nom de ce qui était juste».

Outre Britney Spears, il s'excuse aussi des torts causés à Janet Jackson, dont il avait, soi-disant par inadvertance, révélé l'un des mamelons, lors de leur performance au Super Bowl de 2004. Depuis ce jour, la scène est évoquée sous le nom de nipplegate.

Quoi qu’il en soit, ces contritions qui arrivent un peu tard, qui n'ont pas été sollicitées et qui ravivent des souvenirs douloureux, ont permis l’apparition d’un néologisme: le timberling.