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La question

«J’ai rencontré un homme qui pourrait être le bon… à ceci près qu’il ne semble pas du tout, du tout apprécier la présence de mon chien dans mon lit. Je dois dire que ce chien est mon compagnon fidèle et un peu mon bébé. Depuis qu’il est dans ma vie, m’ayant soutenue au travers d’une période difficile, il est l’unique être à avoir partagé mon lit; je ne veux pas lui infliger une séparation violente.» Véronique, 30 ans

La réponse

En premier lieu, menez votre enquête pour savoir ce qui dérange l’heureux élu et quel compromis pourrait aider. Beaucoup de personnes ne supportent pas de dormir avec un animal domestique (et que dire de l’intimité sexuelle sous les yeux d’un toutou perçu comme jaloux!). La solution sera peut-être d’opérer une transition progressive, surtout si votre ami ne vient pas vivre tout de suite chez vous. Ainsi, vous pourrez en douceur dormir de temps en temps seule après avoir accordé un moment de câlins à votre animal, dans le salon par exemple ou dans le lieu douillet, privilégié (et rempli de peluches) qui lui sera attribué. Car il ne s’agit pas seulement des habitudes prises par votre chien, mais sans doute aussi de votre capacité à vivre ce que vous taxez de séparation. Qu’avez-vous projeté dans cet être? S’il a pris la place d’une progéniture, que pourriez-vous faire – en vous-même – pour donner de la place (pas uniquement dans votre lit) à un homme et peut-être à une famille humaine?

Trouver un équilibre

Je suis la première à adorer mes chiens et à oublier parfois que les messages d’amour qu’on leur donne peuvent être déstructurants pour eux (dormir avec la maîtresse signifie qu’il est le mâle dominant). Il serait intéressant d’approfondir l’analyse (avec un expert canin si nécessaire) pour que vos choix favorisent votre vie de femme tout en permettant de rester vous-même: gaga de votre quatre-pattes, mais attentive à votre équilibre. Il ne s’agit ni de céder aux caprices d’un homme qui doit encore prouver qu’il est le bon ni d’utiliser votre chien pour faire de l’auto-sabotage et rester dans votre zone de confort. En gros: être bien avec vous-même en premier, rester loyale à votre petit chéri, mais sans vous oublier non plus!

Ce qui se passe sous la couette, par Nicolas Poinsot

No go zone

Toutes les positions n’ont pas le même succès au lit, éclaire une enquête menée par Zava. On apprend ainsi que le 69 est la configuration la plus intimidante pour les amants: 40% des femmes et 25% des hommes préfèrent la fuir. Le sexe debout, lui, fait à peine mieux en termes de popularité.

Devoirs

Le lien entre charge de travail et intensité de la vie sexuelle n’est pas évident. Chez les célibataires, ce sont ceux qui ramènent du travail à la maison le soir qui font le plus de galipettes, révèle une étude du site SimplyHired. Dans le cas des individus en couple, en revanche, c’est tout l’inverse.

Maux de genre

L’enfer, c’est les autres dès l’adolescence. C’est ce que souligne une enquête US qui a demandé à des jeunes de 13 ans le jugement dont ils craignaient le plus de faire l’objet. Résultat: les filles ont peur d’être réduites à leur physique et les garçons… d’être qualifiés de filles. Surprenant?

Son désir ne répond plus au mien


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