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Quitter son job, c’est bon pour le moral!
Selon un sondage Gallup cité par l’Américaine et rapporté par le site «The Atlantic», une personne sur trois née entre 1943 et 1976 (les baby-boomers et la génération X) est littéralement «activement désengagée» au travail. De plus, ces personnes (sensibles à l’hypertension artérielle et à un taux de sorbitol plus haut que la moyenne) ont deux fois plus de chances de tomber malade ou en dépression que leurs «heureux» collègues.
L’ingrédient de la bonne reconversion
L’ex-journaliste précise que la recette d’une reconversion professionnelle réussie, c’est d’avoir un objectif à atteindre. Il ne suffit pas de dire «Au revoir président» comme dans une célèbre pub du Loto… Elle rappelle l’étude menée par l’Institut de recherche du bonheur de Copenhague qui révèle que cette «notion d’objectif» contribue deux fois plus au bien-être des employés que l’autre critère essentiel, avoir un bon chef.
Mais attention à ne pas prendre de décision sur un coup de tête, Barbara Bradley Hagerty explique que tous les chercheurs en la matière sont unanimes, se reconvertir ne se fait pas en un jour. Il faut cultiver ses compétences, quitte à en développer de nouvelles, dans le but d’accomplir son nouveau projet.
Et vous, seriez-vous prêts à tout quitter pour vous créer une autre vie? Faites le test: Dois-je changer de travail?
«Life Reimagined: The Science, Art, and Opportunity of Midlife» de Barbara Bradley Hagerty est disponible (en anglais) sur Amazon.
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