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Et pourtant! Cela veut dire qu’il devrait être possible de mieux prévoir l’évolution de chaque tumeur, et donc de choisir un traitement adapté au cas par cas, voire d’en trouver de nouveaux. La concrétisation de ces travaux menés par des équipes européennes et canadiennes prendra encore quelques années, mais l’avancée est décisive.

L’étude - très pointue - a paru le 18 avril 2012 dans l’édition on line de Nature (in English of course). Les auteurs viennent principalement de l’Université de Cambridge (GB) et de celle de Colombie britannique au Canada.

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