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Le phénomène "extrêmement préoccupant" a été révélé mercredi par la société d'assurance pour animaux Sainsbury, qui s'appuie sur une étude réalisée auprès de 50 cabinets vétérinaires en octobre 2011.
Selon leurs témoignages, les propriétaires d'animaux rebutés par les tarifs de consultations vétérinaires prescrivent notamment des anti-douleurs et des calmants, au risque de complications au niveau du foie ou des reins.
"L'administration de médicaments pour humains à des chiens et des chats peut sérieusement mettre en danger leur santé. En croyant bien faire, leurs propriétaires peuvent créer plus de douleurs et de souffrances", a mis en garde Helen Williams, responsable de la branche assurance animalière de Sainsbury.