culture
Wonder, de R.J. Palacio, Ed. FleuveNoir, 410 p.
Elephant boy
Atteint d’une difformité du visage, il n’est pas scolarisé et vit avec sa famille, protégé du monde extérieur. Jusqu’au jour où ses parents décident de lui faire intégrer le collège… Que serait aujourd’hui la vie d’Elephant Man? Sommes-nous vraiment plus enclins à accepter l’anormalité qu’au début du XXe siècle? Pas vraiment.
Mais à l’inverse de l’autobiographie de Joseph Merrick, Wonder n’est pas un réquisitoire contre la cruauté et la bêtise. Et c’est ce qui le rend si émouvant. Ecrit à la première personne, ce premier roman raconte la vie de son antihéros vu tour à tour par ses propres yeux mais aussi par ses proches. L’air de rien, R. J. Palacio donne ainsi une belle leçon de vie. Et d’humanité.
Wonder, de R.J. Palacio, Ed. Fleuve Noir, 410 p.
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