
culture
La nuit a dévoré le monde, de Pit Agarmen

Planète zombie
L’écrivain comprend vite que durant son coma éthylique, Paris est devenue une ville fantôme… comme le reste de la planète. Ses seuls habitants, désormais, sont des zombies. Commence alors, pour Antoine, une vie de Robinson. Quel est le sens de la vie quand on est le dernier représentant de l’espèce humaine? Pas facile de s’attaquer à cette thématique, déjà traitée brillamment dans La planète des singes et Je suis une légende. Mais Pit Agarmen s’en tire avec les honneurs.
La nuit a dévoré le monde, de Pit Agarmen, Ed. Robert Laffont, 220 p.