culture
Crois-moi, je mens, de Nadine Richon
Vertiges de l’amour
C’est une histoire d’amour bien de son époque. Une fable moderne, comme on dit. Violette est Belge. Elle est très seule. Catherine, Genevoise, aimerait pouvoir l’être. Elles ne se connaissent pas mais, comme beaucoup, rêvent du prince charmant. Elles vont le trouver sur Facebook. Il s’appelle Antonio pour l’une, Mike pour l’autre. Et Jordan pour ceux qui le connaissent vraiment. Ni Italien, ni Américain, mais Ghanéen… Un premier roman qui, d’une belle plume, s’empare d’un phénomène contemporain et interroge: aimer est-il plus fort qu’être aimé?
«Crois-moi, je mens», de Nadine Richon, Bernard Campiche Editeur, 175 p.
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