témoignages
"Maintenant j'ai l'air mince même sans talons"
Portrait Christine Pricaz (fr) :
Âge: 48
Domicile: Genève
Métier: Employée commerciale
Taille: 155 cm
Poids initial: 57 kg
Poids actuel: 48 kg
Poids idéal au départ: 53 kg
Pour les personnes que la nature a dotées d'une petite stature, quelques kilos supplémentaires représentent un gros problème. Christine Pricaz en est l'exemple. Cette employée commerciale l'a vécu comme beaucoup d'autres hommes et femmes en arrivant à la quarantaine. Ses hanches se sont rembourrées et l'aiguille de la balance s'est approchée des 60 kilos.
« Pour la plupart des gens, c'est sans doute totalement normal », dit cette femme de 48 ans. « Mais quand on fait 1,55 m, on a rapidement l'air ronde. » Elle utilisait une astuce pour faire illusion : « La plupart du temps, je mettais des talons aiguille – parce qu'ils me plaisent, mais aussi parce qu'ils me faisaient paraître plus grande, et donc plus mince. »
But atteint – à la deuxième tentative
Aujourd'hui, cette Genevoise par choix ne met plus ses talons hauts que pour le plaisir. En effet, grâce au programme en ligne eBalance, elle est descendue à 48 kilos et peut donc mettre des talons moins hauts. « Même comme ça, j'ai l'air mince. »
Christine Pricaz concède toutefois qu'elle n'a pas atteint son objectif du premier coup. Il y a cinq ans, elle avait réussi avec eBalance à réduire son poids à 52 kilos, et avait maintenu ce niveau pendant deux ans. Mais son poids est progressivement remonté jusqu'à 57 kilos. « La faute n'est pas celle d'eBalance, mais la mienne », dit Christine Pricaz. « Je n'avais tout simplement pas assez bien assimilé mes nouvelles habitudes alimentaires et je n'étais pas assez disciplinée au quotidien. Je bougeais encore plus qu'avant, mais je m'étais remise à grignoter et je mangeais tout simplement trop. »
Le bon moment pour perdre du poids
Il y a un peu plus d'un an, il y a eu un rebondissement. Christine Pricaz passait les vacances à Zermatt, et il y avait un miroir de plein pied dans la salle de bain de la chambre d'hôtel. « Il m'a montré sans pitié une image qui ne m'a pas plu : des bras grassouillets, un petit bidon... Non, je ne voulais définitivement pas ressembler à ça. »
Le jour de la Saint Valentin 2013, juste avant une invitation à dîner, Christine Pricaz s'est réinscrite à eBalance. Elle s'était demandée brièvement si c'était le bon moment pour commencer à perdre du poids. « Et je me suis rendue compte finalement que le moment où l'on commence n'a aucune importance. Il faut que la conviction intime et la motivation soient au rendez-vous, et elles étaient bien là pour moi. »
Regards approbateurs
Elle n'a pas prévenu sa famille. Comme eBalance n'est pas un régime où l'on doit renoncer à certains aliments, dans un premier temps, personne n'a remarqué que je faisais attention à ma ligne. Ce n'est qu'après avoir perdus les premiers kilos que son mari a réagi. « J'ai été totalement ravie qu'il remarque de lui-même mes efforts. Ses félicitations et ses regards approbateurs m'ont fait un bien fou. »
Sa fille de 16 ans lui a aussi fait des compliments. Christine Pricaz entend désormais souvent dire : « Maman, tu es belle. » Pas étonnant : elle s'habille maintenant en 34. « Pour ma stature, c'est parfait. Je me sens bien. »
Motivée par des statistiques
Comment Christine Pricaz est-elle parvenue à maîtriser ses habitudes alimentaires au quotidien ? Elle a calculé qu'elle mangeait environ 1095 repas par an, petit déjeuner, déjeuner et dîner compris. Sur les 1095 repas, environ 60 sont importants culinairement et socialement. Il faut par exemple compter un restaurant par mois environ à l'occasion d'un anniversaire ou d'une fête, des repas ou des brunch entre amis, et deux petits déjeuners avec des collègues.
« Je me réjouis à l'avance de chaque occasion et j'en profite pleinement », dit-elle. Entre temps, elle peut donc « facilement manger et boire moins et plus équilibré ». Et même si elle a un petit creux vers 22 heures, elle arrive généralement à y résister avec facilité.
L'exercice est devenu un besoin
Christine Pricaz mange aujourd'hui « de manière consciente, et seulement jusqu'à satiété » – mais elle fait aussi plus de sport. « J'ai toujours bien aimé l'exercice et j'allais volontiers nager et courir. Mais ce n'était pas toujours régulier. »
Aujourd'hui, elle fait au moins six fois par semaine une heure et demie d'activité physique. Comme elle travaille et qu'elle est lève-tôt, elle se met en route à 6h30. « Il faut de la patience et de la discipline », affirme-t-elle. Mais elle a désormais cette habitude dans la peau : « J'ai maintenant besoin de faire du sport, il fait partie de ma vie. »