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Chris Pratt à l’affiche de «Jurassic World»
Dans la dernière production Marvel des Studios Disney, il cassait la baraque. Héros des «Gardiens de la Galaxie» sorti l’été dernier, il parvenait à rendre irrésistible son personnage de Star-Lord, justicier intergalactique affublé d’acolytes aussi peu valorisants qu’un raton laveur de l’espace et un arbre humanoïde. Prochainement à l’affiche de la suite de «Jurassic Park», il aura suffi d’un seul film pour le rendre bankable. Et faire de lui une Jennifer Lawrence au masculin, avec laquelle il partage…
Le physique
Regard clair, mâchoire carrée et tablettes de chocolat plus que parfaitement sculptées, l’acteur de 35 ans a tout du jeune premier. Pourtant, cet ex-lutteur est un ancien gros, qui affichait cent trente kilos sur la balance juste avant le tournage du film qui l’a rendu célèbre.
La distance
Engagé pour son premier film alors qu’il est serveur à Hawaï et qu’il ne rêve pas nécessairement de faire du cinéma, il enchaîne les (mauvais) rôles de loser dans des longs-métrages passés plutôt inaperçus. Habitué à incarner les gros nounours complexés, c’est son attachant et drôlissime personnage dans la série «Parks & Recreations» qui l’a révélé aux yeux des réalisateurs.
L’humour
Dans ses films, sur les promos comme sur ses profils Facebook et Instagram, il brille par son esprit et son talent pour l’«entertainment». Faire une tresse africaine à une stagiaire dans une émission de radio? Interpréter comme un pro un rap d’Eminem? Bander les muscles de ses biceps en les appelant ses «nichons de bras» (pas très classe, on le concède)… Chris Pratt ose tout pour devenir le super héros des médias. Et du cinéma américain.
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