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De l’ermite

Bernard (…), à quelques milles du cap Horn, n’a pu compter que sur lui-même. Sans électricité suite à une collision en haute mer avec un objet flottant non identifié, il a dû cesser toute communication. A part quelques albatros avec qui parler de la pluie et du beau temps, c’est carrément le désert.

Du poisson-clown

Comme Nemo dans son anémone, il lui suffit de peu pour survivre: quelques repas lyophilisés, deux tranches de viande séchée et le tour est joué. Côté confort, plus spartiate que son bateau, tumeurs. A bord de Cheminée Poujoulat, il n’y a ni douche, ni cuisine, ni même un endroit sec d’où admirer la vue. A ce tarif, on ne peut pas dire que la croisière s’amuse.

Du poulpe

Grimper au sommet du mât, à 30 mètres au-dessus des flots, dans des creux sans fond pour réparer sa voile d’une main et l’anémomètre de l’autre, c’est son quotidien. Rien ne l’arrête. La preuve, depuis son départ des Sables-d’Olonne, il a enchaîné les infortunes sans sombrer ni renoncer. On vous le dit, cet homme-là sait tout faire en même temps.

Du dauphin

De haute mer, évidemment. Sillonner le globe à vitesse grand V, c’est son truc. Entre surfs sauvages et pirouettes au-dessus de l’écume, Bernard a un palmarès impressionnant. Alors même si la poisse qui semble le poursuivre finit par avoir raison de lui pour cette course, nous, on s’exclame «Chapeau!»

Où le suivre

En cliquant sur www.pooujoulat.bernard-stamm.com


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