
Pour une femme interrogée sur cinq, il serait plus dur de renoncer à sa connexion au réseau social qu’aux étreintes amoureuses.
Ces femmes n’ont pas hésité à souligner que le sexe n’était pas à leurs yeux quelque chose de primordial, osant ainsi aller à l’encontre de la pression sociale qui fait d’une vie sexuelle épanouie une quasi-obligation.
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