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Des amies, des copines ou des soeurs qui s'effondrent après une séparation, on en connaît toutes. Parmi nos proches XY, c'est plus rare. Vraiment ? Selon le professeur Ridwan Shabsigh de l'université de Cornell aux Etats-Unis, la croyance que les hommes sont moins vulnérables aux traumatismes psychologique est uniquement culturelle et ne correspond pas à la réalité. De récentes études scientifiques le confirment: contrairement aux hommes en couple stable, ceux qui ont divorcé ont tendance à souffrir davantage de maladies cardiaques, d'attaques cérébrales et sont plus susceptibles de se suicider.
Traumatisme à long terme
Si les femmes ne sont pas épargnées par les conséquences psychologiques et physiques d'une séparation, il semble, en effet, qu'elles réussissent mieux à "récupérer" que leurs ex-compagnons. Ce sont eux qui semblent perdre durablement leurs points de repères. Au point que leur vie professionnelle et sociale en subissent souvent les conséquences. Avec perte d'emploi et solitude à la clé. Ainsi, en France, un sans domicile fixe sur 3 est divorcé ou veuf.