
Une preuve supplémentaire vient d’être apportée par une étude danoise parue dans le British Medical Journal. Chez les femmes qui prennent des pilules de la 3e génération à base de gestodène, desogestrel et drospirénone, le risque d’accident thromboembolique est multiplié par six par rapport aux femmes ne prenant pas la pilule. Elles seraient donc deux fois plus à risque que les pilules plus anciennes.