
Les Suisses consomment, en moyenne, 1 kg de pruneaux par an. La tarte aux pruneaux du Jeûne fédéral, que nous célébrerons dimanche prochain, est un véritable plat national. Variations autour de ce fruit et rencontre avec Eva Schöni, pionnière du bio.
Le fellenberg
Il est considéré comme le roi des pruneaux dans notre pays. De forme allongée et d’un violet foncé soutenu, il présente une chair ferme. Son goût est très sucré.
La mirabelle
Petite prune très sucrée de couleur jaune or avec, souvent, des petites taches rouges. Très sucrée et douce.
La berudje
Petite prune rustique très sucrée, cultivée dans les cantons de Fribourg et Neuchâtel.
La reine-claude
Elle doit son nom à Claude de France, épouse de François Ier, surnommée la bonne reine. Verte et de forme ronde. Son goût est très fin et très sucré.
Les choisir
Se laisser guider par le parfum. Opter pour des fruits exempts de taches et de rides. Au marché, ne pas hésiter à ouvrir la prune. Si son noyau se détache facilement, elle est à point.
Les conserver
Une prune à maturité se conserve une petite semaine au frigo. Si le fruit n’est pas très mûr, le stocker à température ambiante. On peut également congeler les prunes. Les couper en deux. Les surgeler d’abord à plat sur une plaque, avant de les mettre en sachets.
Valeur nutritive
On connaît l’effet laxatif des pruneaux secs. Les prunes fraîches ont l’avantage d’être pauvres en calories (55 kcal les 100 g). Elles sont riches en magnésium et en phosphore, et présentent une teneur élevée en fibres. Ce fruit est aussi une bonne source de vitamine B et C, de fer et de potassium.
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