minceur & forme
Le temps du pruneau
Pourquoi mange-t-on de la tarte aux pruneaux à l’occasion du Jeûne fédéral? Parce qu’on l’adore, bien sûr, mais pas seulement. Cette tradition remonte au XVIIe siècle et fait partie intégrante du Jeûne fédéral décrété en 1832. L’Eglise priait alors ses fidèles de ne consommer qu’un repas frugal le troisième dimanche de septembre afin d’offrir l’argent ainsi épargné aux familles dans le besoin… Si le sens de la tradition s’est perdu, l’habitude est restée: nous aimons manger des pruneaux ce dimanche-là. Surtout le Fellenberg. Chaque Suisse en consomme 1 kilo par année. Mais cette variété n’est pas la seule sur le marché. Elle rivalise avec d’autres comme le Tegera, le Cacaks Schöne, le Felsina, le Hanita ou encore l’Elena. Toutes ont en commun d’avoir un diamètre excédant les 33 mm.
Bons pour la ligne
Sec ou frais, le pruneau est ami de notre ligne et de notre santé. Frais, il ne contient que 55 kcal aux 100 g. Riche en magnésium, en phosphore et en fibres, il constitue un apport important en vitamines B, C, E, en fer et en potassium. Sec, il est bien connu pour ses propriétés laxatives. Côté silhouette, il s’impose en tant qu’alternative maigre à la graisse: il suffit de réhydrater une certaine quantité, de la passer au mixer et de remplacer une partie du beurre ou de la margarine de ses pâtisseries par le même poids de pulpe de ce fruit.
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