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Les études d'économie nationale n'ont jamais posé problème à Monika Lüthi. Cette bernoise d'adoption de 27 ans affirme en effet avoir eu des notes autour de 5 au cours de ses études. Cependant, elle maîtrisait beaucoup moins son poids. C'est pourquoi elle s'est inscrite à eBalance. Le programme en ligne de perte de poids lui a permis de changer de mode de vie. Elle est également convaincue que cela lui a non seulement donné une silhouette plus mince, mais également un esprit plus productif.

« eBalance rend visiblement aussi intelligent », déclare Monika Lüthi en riant. Elle ne peut cependant s'empêcher de faire le lien. « La nourriture saine, le sport et surtout une plus grande estime de moi ont sans aucun doute joué un rôle dans cette évolution. Avant, lorsque je planchais sur un exercice et que je ne trouvais pas la solution immédiatement, je pensais que je n'y arriverais jamais et je passais au suivant. Désormais, je continue à chercher la solution et j'y arrive la plupart du temps. » Cette ancienne « sotte », comme elle se décrit elle-même avec le recul, fait désormais face sans crainte à une classe entière d'une haute école spécialisée dans le cadre de son poste de chargée de cours.

Un investissement qui a porté ses fruits

Un résultat encourageant, d'autant que l'engagement dans son programme de perte de poids était plutôt soudain. Lorsque Monika Lüthi a regardé des photos des fêtes de fin d'année, elle a pris peur et a admis : « voilà à quel point j'avais l'air horrible avec mes 62 kilos ».

Sur recommandation d'une collègue et de son concubin, qui avaient tous les deux perdu du poids grâce à eBalance, elle s'est intéressée à la plate-forme de ce programme. « Je trouvais cela très bien, mais je trouvais le prix de l'abonnement trop élevé. » Lorsque sa mère lui conseilla à son tour de faire quelque chose pour sa ligne, elle finit par s'inscrire. « Heureusement, le résultat vaut réellement l'investissement. »

Ne pas faire trop de sacrifices pour rester motivée

Lorsque Monika Lüthi a commencé à remplir son journal eBalance, elle s'est aperçue qu'eBalance n'était pas un régime, mais qu'il s'agissait plutôt d'équilibrer la consommation de calories grâce à une nourriture équilibrée et à davantage d'exercice physique.

Son problème : elle détestait déjà le sport lorsqu'elle était plus jeune et avait souvent séché les cours de sport. Elle décida cependant de se reprendre en mains et commença par de la marche nordique. « J'étais motivée par la pensée que les calories supplémentaires dépensées en faisant du sport m'autorisaient par exemple à manger une glace en été ou des coquins (sablés à la confiture) à noël.»

Moins de sucre et des repas plus équilibrés

Cela ne veut toutefois pas dire que Monika Lüthi se contentait de manger de façon irréfléchie. Cette gourmande avérée veillait en effet à consommer moins de sucre et, contrairement à son habitude, à ne plus manger presque exclusivement des pâtes, mais également beaucoup de légumes et un peu de viande. Elle remplaçait également les croissants du goûter par du fromage blanc avec des flocons d'avoine et des fruits. Elle a également abandonné son habitude de passer au supermarché le soir avant de rentrer chez elle pour s'acheter une pâtisserie qu'elle mangeait sur place.

Ces nouvelles habitudes alimentaires, combinées à davantage d'exercice physique, ont rapidement porté leurs fruits. Moins de 9 mois plus tard, Monika Lüthi pesait 10 kilos de moins et avait ainsi dépassé son objectif initial, fixé à 55 kilos, de trois kilos. « Cependant, cette perte de poids était trop importante. Le programme m'a en effet informée que j'étais à la limite du sous-poids et que je devais reprendre quelques kilos. »

Garder un œil sur les calories grâce à la phase "stabilisation"

Elle suivit donc ces conseils et arrêta eBalance, tout en se fixant une limite maximale de 55 kilos, qu'elle réussit à atteindre dans l'année. « Je savais pertinemment que j'avais besoin d'un outil de contrôle pour arriver à stabiliser mon poids, car j'ai tendance à manger sous le coup de l'émotion. Lorsque je traverse une période difficile ou au contraire que je me sens particulièrement bien, je mange davantage. Si je ne note pas ces calories et que je ne les ai pas sous les yeux, je n'ai pas le bon sentiment qui accompagne ce geste. »

Elle décida donc de prendre un nouvel abonnement sur son compte eBalance et atteignit vite son poids idéal de 54 kilos, qu'elle ne peut pour l'instant conserver qu'avec quelques fluctuations légères et normales. « Cela m'a également aidée de faire davantage d'exercice au quotidien, car j'ai souvent pris mon vélo pour faire le trajet de 28 kilomètres entre le domicile de mes parents dans la campagne de Fribourg et l'université de Berne. »

Le sport libère des « hormones du bonheur »

Le vélo est au fil du temps devenu un hobby. Depuis, Monika Lüthi a acheté un vélo de ville et un vélo de course en plus de son « vieux tacot ». Elle pratique également la musculation avec enthousiasme, une heure par jour. « Avant, je n'avais jamais réussi à faire ne serait-ce qu'une traction. Maintenant, j'en fais sept sans problème. Cela me fait plaisir, je sens que je progresse, je me sens mieux dans mon corps et je sécrète des hormones du Bonheur après le sport. »

Le compliment que lui a récemment fait sa mère lorsqu'elles préparaient des pommes dans la cuisine l'a également très agréablement surprise. « Ma fille chérie », lui a-t-elle dit, « comme tu as de jolies fesses ! »

Jolanda Lucchini, août 2014

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