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FEMINA  En vacances, vous êtes camping, Club Med ou palace?
KAD MERAD  Enfant, j’allais au camping. J’en garde de très bons souvenirs. Plus tard, j’ai travaillé au Club Med (ndlr: il y a débuté sur scène). Et aujourd’hui, j’essaie de me rendre dans des endroits uniques, où il n’y a pas trop de monde. Je suis très entouré toute l’année, alors en vacances j’aime être peinard.

Ne rien faire, c’est un plaisir coupable?
C’est juste que ça ne m’intéresse pas. Je suis hyperactif, donc j’ai du mal à glander sur une plage. Même si j’essaie de débrancher, il faut toujours que j’aie quelque chose à faire: préparer le barbecue, servir l’apéro…

Quel est l’endroit du monde qui vous ressemble le plus?
Si je devais choisir un endroit où je me suis déjà rendu, ce serait la Patagonie. Ou alors Marseille, où je vis depuis un peu plus de dix ans. Là-bas, il y a un vrai métissage de populations, de races, de milieux socioprofessionnels… Moi-même, je me sens très mélangé.

Quand vous ne pouvez pas dormir, vous faites quoi?
Je regarde la télé. Je sais, c’est moche. En plus, les émissions qui endormaient, comme «Chasse et pêche», n’existent plus. Maintenant, il n’y a que des rediffusions de m… Donc j’essaie de travailler.

Enfant, quel superhéros rêviez-vous d’être?
Les superhéros ne m’ont jamais attiré. Je rêvais d’être soit un clown – ce que je suis – soit un grand sportif. Dans tous les cas, quelqu’un de grand! (Rires.) J’étais attiré par le succès, les applaudissements. C’est terrible, non?

Quel pouvoir surnaturel aimeriez-vous avoir?
J’essaierais de rendre les êtres humains beaucoup moins racistes. Tous les humains, attention, pas que les Français! J’enlèverais le sentiment, la sensation, jusqu’au mot «racisme».

Qu’apprenez-vous à votre fils de 10 ans: qu’il faut être le plus fort ou le plus malin pour réussir dans la vie?
Le plus malin. Je ne lui dis pas d’être le premier à l’école. Je me fous qu’il soit le premier, je veux juste qu’il ait du plaisir.

Combien de temps pouvez-vous vivre sans regarder l’heure?
A part les moments où je dois prendre un avion ou un train, je m’en fiche. Il y a systématiquement quelqu’un pour me rappeler que j’ai rendez-vous. Mais je suis toujours à l’heure, c’est très important pour moi.

Et sans parler, combien de temps tenez-vous?
Une seconde, à peu près. Je ne parle pas en dormant – pas encore – mais il m’arrive de dire à haute voix ce que je suis en train de faire, pour me concentrer. Par exemple: «Là, je prends mon passeport, je le mets dans mon sac. Il est où mon passeport? Ah, il est dans mon sac.» Parce que je perds tout.

La manie dont vous avez honte?
Justement le fait que je perde tout le temps mon portable, mes clés. L’autre jour, je me suis mis à chercher mon téléphone alors que j’étais en train d’appeler un pote avec. C’est grave.

Votre premier fantasme féminin?
Ornella Muti. Je devais avoir une quinzaine d’années, je la trouvais très belle.

Une chanson qui vous fait pleurer?
Aucune. Par contre, un film me fait pleurer: La vie est belle, de Frank Capra. Je le connais par cœur et là, vraiment, je pleure dès la première seconde.

Quand vous quitterez ce monde, où aimeriez-vous aller?
A Las Vegas, sur les traces d’Elvis. Je suis fan, j’ai hâte d’aller le voir et jouer au casino, m’amuser. Vegas, c’est la ville du plaisir.

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