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Elle est devenue la porte-voix des artistes indépendants, touchés de plein fouet par la crise. Sur les plateaux télé, dans les colonnes des journaux et des magazines, Estelle Revaz raconte les difficultés et les challenges supplémentaires des musiciens comme elle. Les tournées annulées, les rentrées financières qui se tarissent. Les aides et les coups de main reçus ici et là, pour s'en sortir. Le pouvoir apaisant de la musique, aussi, en passant.

Mais si elle a réussi à se faire entendre jusqu’à Berne, c’est aussi et surtout avec son violoncelle qu’elle fait passer le plus d’émotions. Un Grancino pour être précis, vénérable instrument sorti d'un atelier milanais au... XVIIe siècle. Et voilà que la jeune artiste revient avec un quatrième album, intitulé Journey to Geneva, sous la direction d'Arie van Beek, dans lequel elle interprète un concerto et une ballade de Frank Martin, mais aussi une création du Genevois Xavier Dayer imaginée spécialement pour elle, Lignes d’Est.

Emotion intacte

Un opus que l’artiste en résidence à l’Orchestre de chambre de Genève a réalisé l’été dernier, avec tous les obstacles que l’on peut imaginer. Répétitions par écrans interposés, orchestre respectant les distances de sécurité et gestes barrières inclus. Heureusement, malgré la distanciation sociale, l'émotion reste intacte.

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