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Du coup, par intérêt pour la chose athlétique et non mue par un élan voyeuriste (cela va sans dire), vous observez. Et vous notez mentalement que:

1) le joggeur homme ne s’aventure pas sur l’asphalte sans une tenue adéquate. C’est-à-dire? Revêtu d’un long pantalon ultraplaqué (l’hiver) ou de cuissettes également bien ajustées (l’été), le tout rehaussé d’un T-shirt sans manches bi ou tricolore (quelle que soit la saison). Le joggeur homme déteste ne pas être à son avantage quand il réalise quelques véloces prouesses. Au cas où il croiserait un hypothétique et fugace fan-club.

2) Le Carl Lewis local est constamment en nage. Même au tout début de son épopée asphaltique, une transpiration abondante dégouline le long de son échine et imprègne ses effets. Est-ce à dire qu’il est affligé d’hyperhidrose (transpiration excessive). Nullement. Il doit démontrer qu’il ne fait pas de la figuration mais qu’il déploie sa virile énergie.

3) L’athlète dominical soulève son maillot à intervalles réguliers. Officiellement pour aérer son anatomie, officieusement pour exhiber ses abdos exempts de tout agglomérat graisseux. Tandis que nous, sexe opposé, nous adoptons une posture plus sobre. Enfin la plupart d’entre-nous.

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