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La publication de cette recherche, menée auprès de plus de 4000 femmes, survient quelques mois après que le Service de Santé National (NHS) britannique a décidé d’assouplir les critères permettant de procéder à des césariennes. Auparavant, seules les indications strictement médicales étaient admises, désormais la peur d’un accouchement par les voies naturelles sera également prise en compte. Dans ce contexte, la publication de l’étude conduite par l’Imperial College de Londres et l’Agence de protection de la santé relance le débat entre partisans et adversaires de la césarienne dans un pays où 25 bébés sur 100 viennent au monde de cette manière.

Certes, les infections dont il est question se soignent. Mais elles contraignent les femmes qui en souffrent à rester plus longtemps à l’hôpital et influent sur leur capacité à s’occuper de leur nouveau-né dès sa naissance.

Risque dénoncé aussi en Suisse

En Suisse, où un bébé sur trois naît par césarienne (32,8% selon les chiffres 2010 de l’Office fédéral de la statistique), la Fédération suisse des sages-femmes a déjà tiré la sonnette d’alarme. Dans un rapport publié en décembre 2008, elle soulignait que les femmes ayant subi une césarienne avaient un risque d’infection multiplié par cinq par rapport aux femmes ayant accouché de manière naturelle.

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