news people
Alexandre Astier
Obsessionnel
C’est pas faux. A propos du roi Arthur, déjà, dont il a scénarisé la médiévale histoire pour en faire le personnage principal de Kaamelott. Laquelle série télévisée a affiché une audience XXL. A propos aussi de Bach, le comédien de 38 ans a scanné l’existence et l’œuvre du compositeur pour en extraire un spectacle, didactique, amusant et drôlement futé.
Réactif
Il en a gros quand les empêcheurs de régner en rond le fustigent sur l’argent amassé lors de ses prestations télévisuelles. Parce que derrière le petit chef-d’œuvre, il y a, dit-il, des sommes de travail intense.
Irrésistible
En tant que tel. Un regard aussi profond que les oubliettes moyenâgeuses. Même affublé d’un bonnet et d’une chemise de nuit façon VIe siècle, Alexandre Astier est encore sexy. Intellectuellement aussi, c’est parole et musique. En clair, «Sa Majesté» a visiblement été dorlotée par toutes les fées qui se sont penchées sur son berceau. Du coup, le «monarque» a reçu une bonne dose de substances cérébrales. Sans compter son talent de musicien reconnu. Il a composé ses premiers morceaux à 10 ans.
Clanique
C’qui compte c’est les valeurs, comme dirait Perceval. Du coup, Alexandre Astier amis toute sa famille sur le trône Kaamelottien. Son père, sa mère, sa belle-mère, son demi-frère, et ses quatre enfants ont joué à ses côtés. Quant à sa douce moitié, elle a été réquisitionnée pour les costumes.
Le voir
Dans «Que ma joie demeure», du mardi 12 au samedi 16 juin 2012, au Théâtre de la Croix Rousse, à Lyon. www.croix-rousse.com.
Ou dans la série «Kaamelott», dont les 6 saisons sont disponibles en DVD.
Vous avez aimé ce contenu? Abonnez-vous à notre newsletter pour recevoir tous nos nouveaux articles!