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C'est ce que démontre une étude britannique publiée lundi dans la version internet de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. Les chercheurs de l'University College de Londres ont mesuré le degré de "bonheur" de plus de 3800 personnes âgées de 52 à 79 ans en les interrogeant sur leur état émotionnel quatre fois par jour.

Contrairement à d'autres études sur le bonheur qui se basent sur le souvenir d'émotions ressenties par les participants, les chercheurs britanniques ont recouru à une technique appelée Ecological Momentary Assessment, qui produit un instantané des sentiments de la personne. Les scientifiques ont suivi ces personnes pendant cinq ans, notant le nombre de décès pendant cette période.

Les chercheurs ont aussi pris en compte certains facteurs comme l'état de santé des participants, leur âge, leur situation familiale, leur niveau d'éducation ou encore leur consommation de tabac. Au final, les sujets les plus heureux vivaient plus longtemps. "J'ai été un peu surpris de voir que les effets du bonheur étaient si forts, même parmi les personnes atteintes de maladies chroniques", a confié le chercheur Andrew Steptoe à MSNBC.

Cette étude va dans le sens d'autres recherches précédentes qui avaient déjà établi un lien entre le fait d'être heureux et une espérance de vie plus longue. Une étude menée sur 5000 étudiants d'université suivis pendant plus de 40 ans avait montré que les plus pessimistes pendant leurs années universitaires mourraient plus jeunes que les plus optimistes.

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