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J'ai craqué pour un First Kisseur

Travaillant dans l'équipe de production vidéo d'un quotidien, j'avais pour mission de récolter des inscriptions de volontaires voulant embrasser un/une inconnue devant la caméra afin de réaliser une vidéo similaire à celle qui a fait un buzz planétaire. Lors du parcours des photos de candidats, j'ai complètement craqué pour un homme en particulier. J'ai donc décidé de le sélectionner, ne serait-ce que pour le voir au moins une fois en vrai.
Le jour J, lorsqu'il est venu embrasser son inconnue, mon coup de cœur s'est confirmé, il était vraiment à mon goût (dieu sait que je suis difficile pourtant). A vrai dire, même sa partenaire de bisou semblait sous le charme!
Un-deux jours plus tard, j'ai pris mon courage à deux mains et je l'ai contacté pour faire plus ample connaissance… Voilà maintenant bientôt un an que nous sommes ensemble et nous vivons une relation magnifique et sans nuage.
Curieuse de voir la vidéo? La voici!
Je laisse libre cours à votre imagination pour deviner qui est celui qui partage ma vie à présent!;-)

Barbara

Nous nous sommes retrouvés grâce à un rêve

Tout débute lors d’une soirée entre filles dans une boîte de nuit lausannoise (grand classique, n’est-ce pas?). Mon petit ami de l’époque est à l’étranger pour un stage, notre histoire est tumultueuse comme le sont souvent les premiers amours (nan, il n’y a que moi?). Quelques heures après notre arrivée, je me retrouve à papoter de sociologie avec un charmant jeune homme. Le pauvre choupinou a besoin de cours d’appui (c’était une ruse, je l’ai appris lors de notre premier rendez-vous «d’étude»). Mauvais timing, il sort d’une relation compliquée et je suis toujours en couple. Pourtant, je sens qu’il se passe quelque chose. Et je sens que cela pourrait être important. Mais, je ne suis pas prête à quitter mon homme de l’époque. C’est lors d’un séjour à Barcelone avec des copines (je suis célibataire cette fois) que je rêve de lui, plus de trois ans après notre rencontre. Je me réveille avec une sensation curieuse, une sorte de bien-être intérieur. J’étais si bien dans ses bras! Alors, hop, je saisis mon téléphone portable et je lui écris quitte à passer pour une joyeuse tarée. Je sais qu’il va me prendre pour une folle (je lui ai parlé de mon rêve) mais je lui avoue tout de même que j’aimerais le revoir. Quelques semaines plus tard, nous sirotons un Rivella au bord du lac. Horreur, il m’apprend qu’il est en couple (et moi, je désespère). C’est sans compter sur la petite flamme qui n’a pas tardé à se rallumer. Quelques jours après, il quittait sa copine. Nous sommes ensemble depuis presque 6 ans et je remercie la vie de m’avoir fait rêver de lui, un soir à Barcelone!

Elvire

L’éternel nous appartient

Je l’ai attendue longtemps sur le trajet que nous avions l’habitude de faire ensemble. Je suis revenu sur mes pas, là où j’avais eu le premier déclic face à ce mystère qui a soufflé le ventricule droit de mon cœur. Telle une tulipe noire arrachée au printemps des espérances fatales, mon âme extirpée au long silence qui l’habite, erra lentement à sa recherche. Je suis allé l’attendre sur le toit de la maison, là où on avait l’habitude de nous coucher côte à côte à la belle saison. Elle nommait chaque étoile en l’invoquant et remplissant le vide de mon esprit de myriades d’âmes stellaires. Point d’elle. J’étais seul au milieu du ciel étoilé et d’innombrables points d’interrogations glissaient sur mes lèvres gercées. Je l’ai attendue à l’arrêt du bus et en l’attendant, j’ai sorti mon calepin. Elle n’est pas venue, là, non plus. J’ai renoncé au bus et ai décidé de cheminer à pieds, vers la mer lointaine. Perdu dans mes pensées, pleines d’elle, j’espérais croiser son regard, sa pitié même. Je me suis assis alors sur un banc, persuadé qu’elle me trouverait là, sur ce banc où j’avais sorti mon calepin, la première fois qu’elle est venue. Quelqu’un t’attend, écris-je.
C’est notre premier rendez-vous. Tout ce que je sais, c’est qu’il t’attend. Il espère qu’une fois poussée la porte du destin, ta prémonition te guiderait vers l’inévitable rive. Je vous attendais, lui dit-il. Elle s’assied. Je vous imaginais telle que vous êtes, là, avec de l’espérance au coin des lèvres sortilèges et du mystère dans le reflet étincelant de vos yeux. Pressentir le frémissement d’une promesse à surgir du tumulte est l’exaltant transport vers une demeure où renaîtront deux cœurs au milieu des ruines, des abîmes du monde. Nos deux mains entrelacées et soupirantes, ont inscrit alors ensemble: «l’éternel nous appartient» dans ce doux baiser où ton destin se mêle au mien, et ont refermé ici même le calepin.

Shiva

Merci les CFF!

Un vendredi comme les autres, après le travail, direction la gare de Genève pour rentrer sur Lausanne. Sur place ça se complique: dérangement sur la ligne GE/Saint-Gall, les trains sont soit supprimés ou retardés. Autour de moi tout le monde s’énerve, moi, pendulaire habituée aux caprices ferroviaires, décide de prendre cela avec philosophie et me dirige vers la rambarde sur le quai, prête à dégainer mon magazine pour un peu de lecture. Ce faisant, je remarque du coin de l’œil une haute silhouette aux yeux bleus cristallins, «mignon!» me dis-je mais, origines latines obligent, je suis de celles qui ne font pas le 1er pas, si intéressé, il le fera. Bingo, après une bonne demi-heure il s’approche et, dans un faux accent étranger et surtout sous une fausse excuse, me demande ce que l’annonce aux haut-parleurs vient de dire. Nous engageons la conversation et le temps file, je reviens d’un périple de 4 mois en Amérique du Sud, lui a fait de même l’année précédente. Un train arrive enfin, le mien, pas le sien. Zut, j’hésite à attendre le prochain pour rester avec lui mais il me lance un «pas grave, je changerai de train à Berne». Avant d’arriver à Lausanne, nous échangeons nos numéros et convenons d’aller boire un verre ensemble la semaine suivante. 4 ans après, je remercie toujours autant les CFF pour ce dérangement de ligne!

Giovanna

Une rencontre «électrique»
ou comment ma propre maman a remarqué notre coup de foudre (avant nous)!

Fin 2006, j’étais allée voir avec ma maman une comédie musicale. C’est alors que j’aperçois un homme qui me semble familier. Il me semble l’avoir croisé quelques années auparavant durant mes études. Sur le moment, je n’y prête pas plus d’attention que ça. Mais voilà qu’au moment de partir, ma maman se tourne vers moi et me dit: «j'ai vu un éclair passer dans les yeux de cet homme quand il t'a regardé». Vous savez comment sont les mamans… Je n'en croyais pas un mot! Mais lorsque quelques jours plus tard, il me contacte par Internet et que nous revoyons, le… «courant» passe effectivement très bien… et nous ne nous sommes plus quittés! Cela fait maintenant 8 ans et nous nous sommes mariés en 2013! Nos amis ont même écrit une chanson à propos de cette rencontre atypique!

Joëlle & Loïc

Un vrai «coup de charme»

C’était un jeudi. Le 30 octobre 1989. A 11h00. Le vent soufflait et il pleuvait en rafale. Je me rendais à un entretien d’embauche sur les hauts de Lausanne. Deux messieurs m’attendaient dans un vaste bureau. Un seul prit la parole pour m’interviewer. Au bout d’1/2 heure, son téléphone sonna. Il se tut – enfin - et sortit. M’adressant alors au deuxième, je lui fis part de ma déception et de ma mauvaise impression, lui affirmant que je ne pourrais jamais travailler avec ce personnage. C’est alors qu’il m’indiqua que j’avais parlé avec le directeur de l’entreprise et que si j’étais là, c’était pour le seconder lui. Le patron ne venant que rarement dans la succursale.
S’ensuit alors un long entretien, sur le travail, sur la vie, ses attentes, les objectifs que nous pourrions atteindre en alliant nos compétences… charmeur (?) pas le prince charmant en tout cas… mais lorsque je quittai l’entreprise, le soleil brillait, dehors et dans ma tête. Toute légère, troublée, les idées en vrac… Le lundi 3 novembre je commençais mon travail avec R.L.
Trois mois pour apprendre à se connaître. En février 1990 il vint habiter chez moi. Positif, persévérant, enthousiaste, sens de l’humour - tout comme moi - nous avons partagé ce 1/4 de siècle avec beaucoup de soleil, surmontés quelques coups de brise et telles les cordes solitaires d’un violon, vibré avec la même harmonie. Cela fait 25 ans que nous partageons nos vies, nos loisirs, la marche, la montagne… le bonheur de s’être trouvés.

Catherine

Au festival de musique

Trop de bousculades, mal aux reins d’être restée debout 15 heures, marre des gens, même de moi-même, envie de mon lit. Voilà l’état d’esprit dans lequel j’étais quand il s’est présenté devant moi, une bière à la main, un sourire malicieux sur les lèvres. C’est sûrement son regard doux et non moins espiègle qui a commandé au peu de bon sens qu’il me restait, de ne pas repousser ce Casanova au plan drague très douteux. À sa décharge, c’était très tard, très tôt en fait. Un ou deux verres, des discussions futiles et de beaux fous rires plus tard, le soleil se levait sous le pont de la plaine de l’Asse, laissant les collaborateurs festivaliers orphelins de la nuit et de la musique (et de leurs tympans). Mon amie me tirait vers la sortie et lui, ne lâchait pas le morceau: il voulait la combinaison numérique magique. Une fois de plus sans raison, et presque malgré moi, je lui donnai le code qu’il a répété plusieurs fois afin de ne pas l’oublier. Le Romeo des temps modernes ne l’était pas tant… pas de portable! Euphorie du festival, manque de sommeil, ma tête ne cessait de tourner, et j’attendais (toujours malgré moi, trentenaire à qui on ne la faisait plus), l’oreille attentive, le dring dring salvateur. Il ne vint jamais, mais lui me trouva! Huit ans plus tard, le téléphone ne sonne toujours pas. Nul besoin, il est là à mes côtés, à nos côtés!

Jordanne

Jeux d’enfants

Comment j'ai rencontré mon amoureux… Tout simplement à l'âge de 5 ans. Il était le neveu d'une amie à mes parents. Nous avons souvent joué ensemble.
A 10 ans, ce fut mon 1er amoureux… puis à 12 ans, lorsqu'il a déménagé j'ai eu le cœur brisé.
Nous avons chacun fait notre chemin de vie puis il y a un peu plus de 2 ans, nous nous sommes retrouvés. Un petit mail, un rendez-vous pour se remémorer des fous rires, partager notre vécu autour d'une tasse de café et puis… nous voilà tombés amoureux… 15 ans plus tard. Nous avons rapidement emménagé ensemble, pour notre plus grand bonheur. Tout nous a toujours semblé si évident entre nous, c'est incroyable et indescriptible. Il m'a ensuite demandé en mariage, 1 an après nous nous sommes unis, pour le meilleur et pour le rire (c'est notre devise) et voilà que nous approchons à grand pas de notre 1ère année de mariage. Depuis nos retrouvailles nous vivons un rêve éveillé. Nous mesurons notre chance et nous souhaitons à tout le monde de connaître un tel amour, car ça fait pousser des ailes.

Cynthia

Marocco story

Comme toujours, avec Juliette c’est «à l’arrache». Cet été-là, nous partons pour Casablanca. Chaleur étouffante, sable fin et cocktail à l’ananas, ça pourrait être pire. Une nuit, ou devrais-je dire un matin, après un abus excessivement excessif de ces merveilles alcoolisées, Juliette me lance le défi: baignade à poil. Évidemment, une demi-douzaine de secondes plus tard, je nage parmi les crevettes à me prendre pour polochon. Ma très chère amie ayant omis me rappeler que je ne suis pas jaune et bleu et que je n’ai malheureusement pas la capacité de parler sous l’eau, je m’étouffe, je panique, trou noir. Lorsque je me réveille, il est là, mon marocain à moi. Durant quelques secondes, mon cœur cesse de battre pour m’adapter au rythme du sien. Depuis cet instant, nous ne nous sommes plus jamais quittés. J’ai tout plaqué. Ma famille, mes amis, mes études de lettres et je suis venue m’installer au Maroc. Aujourd’hui nous sommes ensemble depuis bientôt 2 ans. Il est l’homme de ma vie et ma seule raison d’exister. Mais non je déconne! Notre première rencontre? Nous étions tellement ivres que je lui ai vomi dessus. A croire qu’alcool et coup de foudre ne font pas bon ménage… Quoi que…

Lou

Le berger solitaire

Le début de l’été approche et mon rêve de gosse va enfin se réaliser: «garder des chèvres durant toute une saison d’alpage en Valais!»
Arrivé à 2069 mètres d’altitude, je découvre mon lieu de villégiature estival ainsi que ses habitants: des chèvres, des vaches, des bergers, mon patron ainsi que la tenancière de la buvette d’alpage avec laquelle je vais partager le chalet!
Les débuts professionnels sont difficiles car cette expérience est totalement nouvelle pour moi. Je ne remarque que très peu ce qui m’entoure et notamment cette belle jeune femme! Les jours passent et mon aisance avec les chèvres s’accentue ce qui me permet de profiter pleinement de ces moments de vie uniques!
Des soirées entières à refaire le monde avec ma «colocataire», des idées similaires ainsi qu’une attirance de plus en plus évidente pour elle me conduisent tout naturellement à lui révéler mon amour! Et là-haut au sommet de la montagne elle m’a répondu par un doux et tendre baiser!
Au jour d’aujourd’hui nous sommes toujours amoureux et lorsque nous regardons cette montagne, un grand Merci résonne dans nos cœurs!

David

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