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Surprenant. En effet, notre voisin limitrophe tend à protéger les époux dont la femme se serait moquée. Voici le projet de loi en quelques mots:

Un conjoint soupçonneux de ne pas être le père biologique de son enfant pourrait forcer sa femme à avouer le nom de l’amant (ou DES amants) qu’elle aurait vu-s durant la période de conception du bébé.

Ainsi, une procédure déterminerait qui est le réel papa du bambin. Ensuite, ce dernier rembourserait sur demande les frais d’entretien avancés par le mari… cocu.

Le droit va-t-il trop loin?

On n’a pas encore idée, cependant, des conséquences d’un refus de la mère de délivrer ces noms. Et il va de soi que si les raisons de dissimuler une identité sont très sérieuses, la principale intéressée ne sera pas inquiétée.

Mais, en définitive, on peut se poser la question d’une intrusion un peu trop profonde dans l’intimité d’autrui. Est-il vraiment du ressort de la justice d’évaluer ce genre d’affaire? Les époux trompés iront-ils forcément jusqu’à cette possibilité pour reprendre des sous?

Quel est votre avis sur la questions? Réagissez dans un commentaire ou sur notre page Facebook Femina.


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