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Les petits secrets de... Douglas Kennedy

PORTRAIT

L'écrivain américain Douglas Kennedy.

© Leban/Leextra/Éditions Belfond

On le retrouve dans…

L’écrivain américain qui vit entre New York et Paris publie La symphonie du hasard (Ed. Belfond), premier volume d’une trilogie annoncée comme une puissante saga familiale. L’auteur de La poursuite du bonheur nous invite ici à suivre Alice Burns, éditrice new-yorkaise lancée sur les traces insoupçonnées de son histoire familiale. Un voyage dans les bouillonnantes années 1960-1970, entre les Etats-Unis, l’Irlande et l’Amérique latine qui ravira les amateurs de roman-fleuve.


© DR

Son smartphone

Ma photo préférée Deux photos: une de mon fils Max devant la photo de son exposition à l’Université. La seconde de ma fille Amelia écrivant sur la machine à écrire des années 1930 que je lui ai offerte pour son 21e anniversaire. Elle est actrice mais a déjà publié quatre textes.

Mon dernier coup de fil Une longue conversation avec ma fille – moi à Paris, elle à Los Angeles – sur la vie et sur l’art.

L’émoticône la plus utilisée Je n’utilise jamais d’émoticône. Je les trouve stupides. Je suis un homme de mots. Pourquoi utiliserai-je un visage qui sourit quand je peux l’écrire?

Le sms que je conserve Une citation de Samuel Beckett: «Je ne peux pas continuer. Je vais continuer» envoyée par un ami qui avait un cancer.


© Ullstein bild via Getty Images

Sa ville

Mon quartier préféré Le Xe arrondissement de Paris – j’y ai un appartement.

Mon adresse bien-être Six fois par semaine, je vais dans une salle de gym près de la place de la République. C’est très ennuyeux mais nécessaire. L’exercice est essentiel à mon équilibre.

Mon magasin préféré L’Art de la Joie, une librairie indépendante du XVe tenue par un ami.

Mon bistrot Le restaurant Philou dans le Xe. Merveilleux et peu cher (je ne suis pas très gourmand), aussi tenu par un ami.

Une anecdote historique que j’aime tout particulièrement Un grand écrivain sous-estimé Richard Yates, qui a réussi à écrire chaque jour de sa vie, malgré sa dépression. Ecrire, comme vivre, est difficile, mais il faut savoir persévérer.

Le parc où j’aime déambuler Le long du canal St-Martin.


© Getty Images/iStockphoto

Sa vie intérieure

Un récent petit plaisir Mon fils, qui a été accepté en master à l’Université de Londres. Max est atteint d’une forme d’autisme, donc c’est une immense réussite.

Ce que je fais par amour That is private!

Ce qui me met en colère Donald Trump et toute sorte de méchanceté faite aux autres. L’empathie est une attitude que nous devons tous pratiquer quotidiennement.

La musique qui me bouleverse Blackbird, des Beatles; la Messe en si mineur, de Bach.

Sa valise

Objets incontournables Un stylo-plume.

Un livre N’importe lequel qui m’occupe au moment du voyage. Et je lis deux livres par semaine. J’ai toujours aussi un bon carnet de notes.

Un incident de voyage Un couple se disputant dans le train New York-Boston: le type la traite de tous les noms d’oiseau en hurlant, elle le pousse en arrière, lui envoie un coup de poing dans la figure, et tout le monde dans le wagon applaudit.

Au retour, deux fois plus pleine de quoi? Je ne déballe pas ce genre d’affaires aux yeux de tout le monde…

Un parfum Whiskey!


© Getty Images/iStockphoto

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