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On retrouve Bernard Pichon…

«Une valise de souvenirs», son dernier livre publié aux Editions 180°. Radio, télé, presse écrite, voyages autour du monde, Bernard Pichon y raconte son parcours, y évoque ses rencontres avec de nombreuses stars du XXe siècle. De «Basile & Pecora» à «La ligne de cœur», ou «Les oiseaux de nuit», l’homme a laissé une trace indélébile dans la mémoire des Romands.

Sur son blog de voyage, le portail du globe-trotteur, comme il l’appelle lui-même. On le suit aussi sur Facebook et Instagram.

Son smartphone

Ses applis indispensables Sur mon iPad, j’utilise Videolicious, une petite appli de montage basique pour poster des vidéos quand je voyage. Sinon, celle de la RTS, pour écouter la radio quand je suis à l’autre bout du monde.

Ses photos les plus précieuses Celles de mes enfants et petits-enfants bien sûr. Et une photo prise en Equateur, sur laquelle un cultivateur penché sur son régime de bananes a l’air complètement désespéré… Ces fruits n’ont plus le même goût depuis que j’ai vu qui les cultive et comment. Elle est très parlante.

Le compte Instagram qu’il suit Principalement des comptes de voyage, avec le #travelblog ou #travelblogger.

L’émoticône dont il abuse Celui qui sourit. Sauf dans les cas exceptionnels, comme lorsque je réagis à une news sur Trump ou sur les animaux qu’on maltraite.

Sa valise

Un casse-tête ou vite bouclée? Je voyage léger. L’essentiel pour moi est de toujours garder mon bagage avec moi en cabine. Cela m’a sauvé dans de nombreux cas de correspondances serrées entre deux vols.

Un objet incontournable Ma GoPro, mon iPad, un appareil photo et, depuis peu, un drone qui a la taille d’un iPhone. Cela faisait longtemps que je rêvais de filmer des vues aériennes.

Un livre Je retourne en Inde cet automne, trente ans après y être allé. Du coup, je lis «Le dictionnaire amoureux de l’Inde» de Jean-Claude Carrière pour me remettre dans le bain. C’est un pays duquel on ne revient jamais indemne.

Sa vie intérieure

La chanson qu’il écoute Je fredonne actuellement «Moi aimer toi», de Vianney. Sinon, dans un répertoire plus rétro, je suis fan de comédies musicales… «Les Misérables», c’est une mine de tubes incroyable!

Ce qui le ressource Ma maison, à quelques kilomètres de Lausanne. J’aime partir aux quatre coins du monde, mais après quatre ou cinq jours j’ai besoin de rentrer.

Ce qui le met en colère Le manque de discernement. Les gens qui donnent des avis péremptoires sur des choses sans argumentation. Et les emballages qui résistent à l’ouverture, notamment dans les avions…

Ses villes autour du monde

Ses coups de cœur Bagan, en Birmanie, le SpiegelKwartier (quartier des antiquaires) à Amsterdam, Luang Prabang au Laos.


©Getty Images

Ce qu’il aime visiter Les galeries d’art contemporain. J’aime beaucoup découvrir les jeunes artistes, surtout en Asie. Récemment, j’ai flashé sur des œuvres qui détournent l’époque Mao à la Andy Warhol.

Les parcs où il déambule Le Parc des oiseaux de Villars-les-Dombes, près de Lyon. Et le Parc du peuple de Chengdu, en Chine. On y croise des parents qui y vantent à coup de pancartes les mérites de leurs fils et filles pour les caser…


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