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Concours «souvenir d’été»: les 10 histoires gagnantes

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Isabelle, la Chaux-de-Fonds

Juillet. C'est les vacances. Information capitale en lettres capitales sur les voitures décapotées, sur les sandales et les doigts de pieds, sur le sourire des enfants libérés. Tout le monde est en vacances. Ceux qui ne le sont pas, c'est qu'ils ne sont pas ENCORE en vacances. Adverbe? Nuance... Maintenant, si je vous dis que je suis PERPÉTUELLEMENT en vacances, vous penserez que je suis rentière, si vous êtes pragmatique. Ou princesse, si vous êtes romantique. Mais la vérité, la vérité toute nue, la vérité toute laide, c'est que je suis au chômage. Depuis longtemps. Je suis, c'est le cas de le dire, le grain de sable de ce bel engrenage estival. Car - navrée d'avoir à vous le rappeler - qui dit vacances, dit travail. Et qui dit chômage, dit... surmenage. Cœur lourd en pensant à demain, au mois prochain. Cœur usé d'espoirs déçus, d'attentes interminables, de discours dérisoires de soutien. Cœur brisé, à la fin. Et puis un jour... un jour! Un téléphone qui sonne, un rendez-vous pris, une robe pas trop vacances, un sourire de circonstance. Et ma dernière dose d'énergie. En entretien, comme au tribunal. Ils sont plus nombreux que moi. Ils me scrutent, me soupçonnent, me harcèlent. Je tiens bon. Je me réveille. Je me défends, je m'enthousiasme, je me révèle! Oui, j'aime mon métier, pourquoi donc m'en avoir privée? Ils se consultent, ils se détendent, se demandent pourquoi attendre mais oui madame, on va vous prendre, et dès lundi, ça vous convient? Si ça me convient? Si ça me convient...! Mon meilleur souvenir de vacances? Un lundi de juillet, tôt le matin, je suis allée travailler, sourire aux lèvres, et cœur léger.

Julie, Sauvagnon

Allez on met les voiles direction l’île de Ré. Une escapade comme une ode au farniente et à la sérénité. On enfourche les bicyclettes. Peu importe la destination, c’est le voyage qui compte. Que l’on file à la plage, le cabas cahotant à l’avant du vélo, ou bien que l’on pérégrine le long des chemins. N’avoir que la flânerie d’horizon. Un tour de pédalier et on laisse vagabonder ses pensées. Au son des tic-tic-tic de la roue, on quitte la torpeur de nos vies réglées comme des pendules. Le vent caresse les joues rougies par le soleil et le doux effort. Ca sent les embruns, l’iode et le parfum des fleurs. Encore un coup de pédale, les sens s’animent pour renouer avec la rêverie. L’œil se pose ça et là, tour à tour enchanté par un paysage, un détail futile auquel tout à coup on attache de l’importance. L’importance du temps retrouvé. Et ce charme des maisons blanches aux volets verts, baignées d’une tendre lumière. Et ces coquelicots qui se dressent fiers au vent. Leur port altier, balancé par la brise, se mêle aux épis de blé dans un spectacle enchanteur. Les dring dring des autres cyclistes vous tirent de temps à autre de votre bulle. Une balade en longeant la côte, en serpentant dans les chemins, perdant de vue l’océan pour mieux le retrouver au détour d’un virage. Sentir le soleil sur la peau, il fait presque chaud. Revenir au port, attacher sa précieuse monture et filer chercher une glace à La Martinière. En fait, il fait chaud. Il est temps de remiser la bicyclette chez le loueur. On garde en mémoire de belles images… et l’empreinte de la selle qui se rappellera à notre bon souvenir encore quelques jours.

Francine, Pully

Boston, octobre 1996. J'ai 29 ans. Petit voyage aux états-Unis pour fêter les soixante ans de ma maman. La destination première de ce voyage, c'était New-York. Après hésitations quant au choix d'une seconde ville, nous avons décidé de nous rendre à Boston pour quatre jours. La ville nous paraît à échelle humaine, très vivante. Personnes prêtes à aider les touristes, souriantes, chaleureuses. Impression qu'il s'agit d'avantage d'un grand village que d'une ville. À l'approche d'Halloween, les jardins sont enrichis de sorcières et autres fantômes venus squatter les lieux. Courges gigantesques et potirons présents partout! L'été indien déploie sa promesse de couleurs éclatantes sur toute feuille. Quatre jours pour visiter la ville, prendre le train et traverser des forêts interminables, découvrir des plages qui rappellent un peu la Bretagne, trembler à l'évocation de l'époque des sorcières de Salem, se balader à Cape Code, Rockport, Hyannis Port, en arriver à la conclusion que les Kennedy avaient tout compris en s'établissant dans le Massachusetts! Les lieux, l'atmosphère, les beaux moments de partage avec ma petite maman adorée me reviennent très régulièrement à l'esprit, surtout depuis sa disparition en 2008, emportée par le crabe... Je retournerai dans le Massachusetts, si possible en octobre et si possible avec une personne qui m'est très chère... Le voyage se doit d'être à l'image du précédent enchanteur en tous points!

Nathalie, Lausanne

Mes vacances commencent enfin... mes filles sont parties hier avec leur père pendant deux semaines. J'ai mis les mots maman et horaires dans un coin de ma tête pour les remplacer par couple et liberté... Je vais profiter de chaque moment avec mon amoureux... Nous décidons d'aller nous baigner au bord de la rivière, à l'abri des regards. Nous connaissons un endroit magique... mais pour y parvenir, il faut s'enfoncer d'abord dans la forêt, descendre quelques pentes glissantes et traverser la rivière en portant nos affaires sur nos têtes pour ne pas les mouiller. Enfin nous y voilà. Calme, fraîcheur, bikini sexy et moments torrides sont au programme de notre après-midi. On décide ensuite de faire un concours de ricochets. Je maîtrise parfaitement les ronds dans l'eau mais mon chéri veut faire mieux. Assise au bord de l'eau, le laissant jouer tout seul, je lui demande de faire attention en jetant ses cailloux car il est près de moi. Il en lance d'abord des petits, puis des moyens puis il s'empare d'un très, très gros caillou. Et BOUM... une douleur atroce me transperce... Rapide et intense même si je vois la scène au ralenti. Je crie. Le gros caillou atterri entre mes orteils. Puis il rebondit pour finir sa course au fond de l'eau. Je ne regarde pas encore mon pied. Mais je sais déjà que ce n’est pas de la rigolade et que l'après-midi romantique, je peux l'oublier. La coupure est profonde et commence à saigner. Je n'ai même pas la force d'insulter mon chéri. Il est encore plus mal que moi, il se sent coupable et se maudit à haute voix. Il n'y a pas de temps à perdre. Il faut aller aux urgences. Je ne peux pas poser le pied par terre, on réussit tant bien que mal à enrouler un mouchoir autour de mes orteils et à le faire tenir grâce à ma tong. Le plus dur est à venir... Faire le trajet en sens inverse sur le dos de mon homme. Petite précision c'est un petit gabarit, pas le genre Musclor. La situation est tellement comique que je suis morte de rire. Rejoindre l'autre rive sans perdre l'équibre, remonter les pentes terreuses... galère! On voulait être seuls au monde, on a été servi. Pas âme qui vive pour nous aider! Finalement on retrouve la voiture. Mon mec est au bout du rouleau et de mon côté, mon pied a triplé de volume. On fait la paire! Nous arrivons enfin à la permanence. Je ne vais pas devoir attendre longtemps. Juste le temps que le médecin termine avec une autre plaie, ce sont les mots de la dame à la réception. La plaie numéro un sort de consultation ... nos regards se croisent... Et nous nous reconnaissons... Cette fille là, c'est une amie d'enfance! Nous ne nous sommes plus revues depuis 30 ans!!! On rigole, on papote et on oublie la douleur! Elle marche avec des béquilles et on devra me faire plusieurs points de suture mais peu importe en somme. Rien n'arrive par hasard, j'en ai maintenant la certitude!

Valérie, Vérossaz

C’était un matin de juillet. La canicule s’était quelque peu calmée. La journée allait être chaude, mais dans la limite du supportable. Du moins, dans la limite de ce que je pouvais supporter. Mais hors de question pourtant de rester sur mon balcon à observer l’astre monter puis décliner dans le ciel. Je suis partie, mes chaussures de marche à la main, à l’assaut du Grammont. Célèbre randonnée, je ne l’avais néanmoins jamais accomplie jusqu’au sommet. La faute à Taney, paysage trop idyllique pour qu’on l’abandonne. A neuf heures, j’attaquais donc la première montée vers le lac. C’était la partie la plus raide, mais je la connaissais bien. Je prenais presque du plaisir à souffler comme un bœuf et à transpirer autant. Sauf que cette fois, pas question de s’arrêter au hameau. Je traçais directement vers les prés. Etonnamment, j’étais seule sur ce chemin, pourtant très emprunté. Je pouvais observer le paysage à loisir, et tenter de deviner où se planquaient les marmottes qui parsemaient ma marche de leurs cris. La montée était moins raide. Par chance, les nuages cachaient encore le soleil. Avec la chaleur, la randonnée aurait été plus difficile. Je croisais une ou deux personnes descendant, mais j’étais en grande majorité seule. . Le ciel se dégageait petit à petit. Avec la grimpette physique, s’accomagnait l’ascencion spirituelle. Je retrouvais ma grand-mère dans mes pas. Elle qui avait tant apprécié la montagne. Je sentais le sommet s’approcher. La marmotte m’accompagnait toujours, et l’aigle m’encouragea avec son vol surplombant les Jumelles. Il ne restait qu’une pente, raide, vers la croix du sommet. La vue était déjà incroyable, mais hors de question de flancher si près du but. Mes jambes me faisaient souffrir, tout comme mes pieds. Mon souffle était court. Je voulais courir, mais j’en étais incapable. Pas après pas, je me rapprochais du sommet. Et puis, il était là. Il s’offrait à moi. La main sur la croix, j’observais la vue, magnifique, sur le Léman, le Chablais, Fribourg,… J’avais l’impression d’avoir la Suisse à mes pieds. J’étais seule, mais libre. Prête à affronter la suite de ma vie.

Emily, Carouge

Les yeux mi-clos, je râle déjà contre cet importun qui gâche ma sieste. Voici qu’il me parle à nouveau dans une langue incompréhensible. Est-ce qu’il veut me vendre un chapeau? Un beignet? Un coca? Je n’en sais rien et à vrai dire je m’en fiche. J'aimerais juste qu’il s’en aille et me laisse bronzer tranquille. Faire trois heures d’avion pour enfin avoir la paix et se prélasser sur la plage et pas moyen d’être en paix. Sans lui jeter un regard, je me retourne en lui lançant «Go away! Leave me alone now!». Je ferme les yeux et me laisse bercer par le bruit des vagues. Avec mon job dans la communication, les années sont plus que chargées. Toujours stressée, avec des horaires de dingue, on peut dire que je n’ai pas chômé en 2015. Ces vacances sont bien méritées et je compte bien en savourer chaque seconde. J’ai beaucoup hésité pour la destination. Pas pour des raisons de budget, ça non. Mon travail me permet d’avoir un train de vie plutôt agréable. Et pour mes vacances, je ne suis pas non plus regardante sur la dépense. J’avais pensé à Cancùn. St Barth aussi. Et les Maldives bien sûr. Mais une amie m’a parlé d’une toute petite île grecque où elle se rend souvent avec sa famille. Un petit paradis uniquement accessible en yacht privé. Ici pas de hordes de touristes bruyants et débraillés. Un lieu pour les privilégiés. Un lieu pour moi. Lorsqu’elle m’a montré les photos, j’ai été séduite. Et ai réservé mon billet dans la foulée. Le type est de nouveau là à côté de moi. Je sens sa présence, son ombre qui empêche le soleil de chauffer sur ma peau. Qu’est-ce qu’il veut encore? Je m’assois, soulève légèrement mes lunettes de soleil et lui demande: «Did you understand? Leave me alone!». Il me regarde avec un air apeuré et murmure: «Please. Help.». Non mais le type est en train de faire la manche sur cette plage? Je rêve ou quoi? Je respire, je ne vais pas laisser cet intrus gâcher ma journée idyllique. J’attrape mon porte-monnaie et lui tend un billet. «Go now!». Le type ne bouge toujours pas. Il regarde hébété le billet que je lui ai tendu. J’hallucine, il ne trouve pas que 10 euros sont suffisants? Qu’est-ce qu’il attend pour partir? Il me rend mon billet. Il me souffle: «Please come. Help.» et m’invite à le suivre. OK. Ce mec a définitivement décidé de ruiner ma journée. Je me lève et en soupirant lui emboîte le pas. Une fois que je lui aurai acheté le foulard ou la babiole qu’il cherche à me refourguer, il me laissera peut-être enfin tranquille. Maintenant qu’il a vérifié que je le suis, le type avance vite. Il longe la plage, monte la petite dune qui surplombe la crique voisine et m’attend en haut du monticule. A bout de souffle, je le rejoins. Et là, je les vois. Les centaines de gens en gilet oranges. Les enfants serrés contre leur mère. Les canoës pneumatiques. Les sacs éparpillés partout. Et tous ces regards qui se tournent d’un coup vers moi. Il y a un grand silence sur la plage. Je comprends que les vacances sont finies. Mais aussi que ma vie vient de prendre un tournant inattendu. Plus rien ne sera jamais pareil sur les plages de vacances.

Eliane, Chavannes/Renens

Un rêve ou une réalité
Je suis dans le train en direction du sud de la France. Je feuillette un magazine qui me fait découvrir les nouvelles tendances de la mode à venir je ferme les yeux, mon esprit vagabonde. J'écoute la voie de Percy Sledge: «When a man loves a woman». Je somnole, je dérive. J'emprunte la place d'un mannequin. C'est le final du défilé, je porte une robe de mariée, les bretelles sont des marguerites cousues sur de la dentelle. Ma peau est en contact avec le satin, l'organdi. Je porte une capeline en tulle blanc cassé avec des petites marguerites jaunes. Les applaudissements me font revenir à la réalité. La place est-elle libre? Mon magazine a glissé à terre. Il le ramasse, me le tend et s'assied. Très affairé par son PC et portable. Sa voix est mélodieuse et discrètement je l'observe. Le train ralentit et soudain nos regards se croisent, nous nous sourions et il me demande de surveiller son PC et ses affaires personnelles pour un court instant, distraitement, j'acquiesce. Sur le quai, Il parle avec un adolescent, il lui remet de l'argent. Je ne peux m'empêcher de l'observer et une petite voix me susurre: de loin comme de près, il a un charme fou ce type au costume parfaitement coupé. De surcroît, le sillage de son parfum est toujours présent. J'entends retentir le sifflet du chef de gare, il est en vive discussion avec lui, il s'énerve. Je distingue de nouveaux coups de sifflet intempestifs, le ton monte. Au loin, j'aperçois le jeune gamin, les joues rosies, tenant de ses deux mains, un splendide bouquet très coloré. Le train s'ébranle, les portes se ferment et freinent, les portes s'ouvrent à nouveau et le train redémarre. L'adolescent se tient sur le quai, les mains vides, il regarde amusé le train quittant la gare. Le bel inconnu arrive dans le compartiment, un sourire aux lèvres, le bouquet à la main et il me remercie d'avoir pris soin de ses affaires et murmure que les fleurs sont pour moi et il espère que les couleurs soient à mon goût. Pensez donc qu’elles le sont et le seront! Est-ce le bouquet de la mariée? Je suis séduite… Quel magnifique voyage !

Edmond, Chexbres

Le soleil n’est jamais si beau qu’un jour où l’on se met en route.
30 juin, 10 heures.
Comme dans un jeu de piste, nous traquons sur les façades des maisons la flèche familière, verte et bleue avec son pictogramme et son message rassurant «Vers la Loire à vélo». Le voyage commence par les sons. Le gravillon crisse. Les cris des oiseaux montent du lit de la rivière. Le voyage s’infiltre dans le corps. Les mains tressautent au passage des nids de poule. Les cuisses se tendent, elles montent, descendent, remontent, dans un mouvement de plus en plus régulier. «Mettre de l’huile dans les rouages» c’est peut-être ça: se donner le temps de démarrer, de trouver son rythme tout en s’ajustant à celui de son compagnon de route… Le voyage clignote au-dessus de ma tête, par-delà la haie de maïs à hauteur d’yeux. Le soleil perce à travers une peau de mouton. Une fourrure courte où les touffes de laine laissent des interstices. Entre les touffes, le gris métallique du ciel. Le voyage bourdonne à hauteur de roue. Un champ de blé troué de coquelicots. Des graminées pourpres tout autour. Un embrasement. Les ailes froissées dans l’ivraie ou le bon grain pavots-papillons.

Nathalie, Valeyres sous Montagny

J'ai offert à ma fille pour ses 18 ans un voyage surprise. Jusqu'au moment d'embarquer dans l'avion elle ne savait pas où nous allions. Nous nous sommes envolées pour Dubrovnik où nous avons passé 3 jours magnifiques. Nous avons pris le temps de profiter de cette superbe ville et de ces quelques jours privilégiés rien que toutes les deux. Comme nous avons 4 enfants c'est vrai qu'il est vraiment très rare que nous puissions leur réserver des moments juste à deux. Vraiment mon meilleur souvenir de vacances de cet été. Ma fille était aux anges et quoi de plus beau pour une maman que de voir ses enfants heureux.

Jennifer, St Aubin

Mon plus beau souvenir est la rencontre d'une petite fille mauricienne qui deviendra par la suite ma filleul. Lors de vacances sur cette magnifique île Maurice, ma maman, nos amis et moi-même décidons de faire une excursion sur l'îIe aux Cerfs et de profiter d'un barbecue pour le dîner. C'est lors de ce barbecue que nous rencontrons Jenny et sa petite fille d'un an, Alexandra. Nous avons tous été attirés par ce beau bébé dans les bras de sa maman. Nous faisons connaissance, et très vite nous ne pouvons plus nous quitter! Je prends Alexandra dans les bras et je lui fait découvrir la mer car sa maman a peur de l'eau et ne l'y a jamais emmenée. C'est un bonheur pour Alexandra de pouvoir barboter dans l'eau, elle rigole comme une folle! Nous passons la l'après-midi ensemble, à discuter, à se baigner et puis vient l'heure de rentrer, car demain nous devons reprendre l'avion. Bien que la rencontre avec Jenny et sa fille soit toute fraîche, les adieux sont déchirants et nous échangeons nos coordonnées afin de pouvoir rester en contact. Durant l'année qui suit, j'écris régulièrement à Jenny pour savoir comment elle va,et prendre aussi des nouvelles de la petite Alexandra. Et c'est lors de ces échanges que sa maman me demande si je veux être la marraine d'Alexandra! Comment refuser?! Depuis je retourne chaque année à l’île Maurice. Alexandra a maintenant 5 ans et j'ai même pu assister à son baptême. Je suis une marraine comblée par une petite fille qui habite à 9'000 km et je me réjouis toujours de pouvoir la retrouver.

* Les 10 gagnants recevront prochainement les cadeaux.

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